LES AFFRANCHIS

Trouvez votre famille en utilisant votre vrai langage | Laetitia MARTOS

Laetitia MARTOS Season 4 Episode 19

Avez-vous déjà ressenti que votre vision entrepreneuriale était incomprise par ceux qui vous entourent? Ce podcast dévoile le secret des entrepreneurs Sigma – ces créateurs qui aspirent à réussir sans fanfare, dans la quiétude de leurs "antres créatifs".

J'ai découvert, après 12 ans d'accompagnement de ces profils singuliers, qu'un obstacle majeur se dresse sur leur chemin : l'incapacité à terminer leurs phrases. Lorsqu'un entrepreneur Sigma dit "Je ne sais pas comment faire du chiffre d'affaires", il omet la partie essentielle – "tout en respectant mes valeurs, en préservant ma vie familiale, en créant du sens". Cette omission cruciale les conduit à chercher des solutions inadaptées à leurs véritables aspirations.

Le problème va plus loin. Nous passons notre temps à essayer de résoudre un problème qui n'est pas le nôtre – faire comprendre notre vision à ceux qui parlent une langue différente. C'est comme parler chinois à des Japonais, puis s'étonner de l'incompréhension. La véritable démarche consiste à parler constamment votre propre langage, sans le diluer, pour attirer ceux qui vous comprennent naturellement – votre "vraie famille" entrepreneuriale.

Cette approche exige une responsabilité particulière : assumer pleinement votre différence sans la dissimuler. C'est le prix de la liberté d'être soi-même et d'entreprendre selon vos propres termes. Cessez de vous adapter aux autres et consacrez votre énergie à trouver ceux qui résonnent avec votre vision unique.

Si vous vous reconnaissez dans ce message, sachez que vous n'êtes pas seul. Notre communauté des "pas pareils" compte déjà plus de 1010 membres. Rejoignez-nous pour explorer ensemble une voie entrepreneuriale qui honore votre authenticité et votre vision singulière du succès.

Si toi aussi, tu veux m'écrire une lettre manuscrite clique ici et envoie le mot "LETTRE""

Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.

Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.

Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.

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Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.

Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.

Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :

🌸 Élever ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition

🌸 T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs

🌸 Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.

Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.

Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.

Retrouve moi dans des espaces intimes et puissants d'accompagnement, c'est mon métier depuis 12 ans sur www.laetitiamartos.com

Speaker 1:

Tu sais, j'ai remarqué un truc. J'ai remarqué un truc, c'est que nous, les entrepreneurs Sigma, ceux qui avons envie de réussir, mais sans faire de bruit, sans crier plus haut que les autres, sans ameuter une troupe, sans créer un empire, en fait, nous, on a envie de créer notre réussite quasiment dans le silence, quasiment dans la solitude, quasiment dans nos antres créatifs, quasiment dans la solitude, quasiment dans nos antres créatifs, quasiment dans nos ateliers d'artistes. On aurait envie de réussir depuis là, depuis ces endroits, ces endroits ancrés. J'ai remarqué quelque chose chez nous, parce que ça fait 12 ans que j'accompagne des entrepreneurs Sigma c'est ces entrepreneurs qui ne sont pas là pour diriger pour l'idée des meutes, qui ne sont pas là pour diriger pour l'idée des meutes, qui ne sont pas là pour passer en premier afin que les autres les suivent, mais pour passer en premier, simplement pour eux.

Speaker 1:

J'ai remarqué qu'on adorait la fréquence des mots, que les mots revêtaient d'une très grande importance et qu'on aimait toujours passer du temps pour trouver le bon mot. Et même si on n'aime pas passer du temps, on le passe Parce que le bon mot est très important pour nous. Et malgré ça, malgré ça, j'ai remarqué quelque chose que je vais te partager. Tu m'écoutes d'une oreille et surtout, surtout, tu t'écoutes d'une oreille et surtout, tu t'écoutes de l'autre oreille. C'est comme ça que ça marche. J'ai pas la vérité, c'est toi qui l'as.

Speaker 1:

J'ai remarqué que, nous, on finissait pas nos phrases. On commence des phrases, la fin nous semble évidente, mais on oublie quand même de la finir, de sorte que parfois, nos analyses sont biaisées parce qu'on a cru que la fin de la phrase était une certaine fin, alors que ce qu'on veut dire, c'est autre chose. Et donc, ça nous donne un biais d'analyse puisqu'en fait, on est en train de résoudre un problème qui est en fait la résolution du problème qu'ont les autres à notre contact. Tu essayes de résoudre un problème qui n'est pas un problème que tu rencontres, qui est le problème que les autres rencontrent à ton contact. Et je vais m'expliquer.

Speaker 1:

Première partie il y aura deux parties aujourd'hui. La première partie, alors attends déjà avant de continuer. Si tu ne me connais pas, je m'appelle Laetitia Martos. Si tu veux continuer à avoir ce genre de conversation et accéder à ce genre de conversation, je vais mettre un lien. C'est le lien de tous les gens qui ne sont pas pareils et qui croient qu'ils sont seuls à être pas pareils. Et en fait, à force de croire qu'on est seuls à être pas pareils. On vient de dépasser 1010 inscrits sur cette liste de pas pareils. Donc, on est plein de pas pareils. Je te mettrai le lien en dessous. Bref, le lien en dessous. Bref, revenons à nos moutons.

Speaker 1:

La première partie, c'est la fin de tes phrases. Par exemple, tu dis Non, mais moi, ça ça n'a pas marché. Ou Ouais, j'ai pas réussi. Ou Je sais pas comment faire du chiffre d'affaires», ou Je sais pas comment vraiment trouver des clients, ou Je sais pas comment communiquer de manière pertinente. C'est bien ça, c'est pas mal, c'est un bon début d'analyse, mais t'es capable de beaucoup mieux que ça. T'es capable de beaucoup mieux que ça parce que t'es capable de finir ta phrase.

Speaker 1:

J'avais une cliente hier et ça m'a inspirée pour faire ce partage. Elle m'a dit toi, t'as une manière toujours simple, ludique, joye, et ça m'a inspirée pour faire ce partage. Elle m'a dit toi, tu as une manière toujours simple, ludique, joyeuse de partager ce que tu sais. Et tu n'aurais pas une vidéo où tu m'expliques comment faire du chiffre d'affaires, comme s'il y avait ça.

Speaker 1:

Tu fais ça, ça, tu fais ça, ça, tu fais ça Pourquoi? Parce que moi, je viens d'un environnement très technique. Donc, il y a des choses techniques que j'explique notamment, qui ont un trait au développement de sites internet, etc. Où, effectivement, je peux dire petit 1, tu fais ça, petit 2, tu fais ça, petit 3, tu fais ça, et du coup, ça va marcher. Et donc, elle me demandait ce genre de vidéos.

Speaker 1:

J'ai dit mais, je l'ai, mais c'est pas ça que tu veux, c'est pas ça que tu veux Toi, tu cherches pas à faire du chiffre d'affaires. Et il manquait la fin de la phrase. Elle veut pas faire du chiffre d'affaires. Oh, non, comme toi, elle veut faire du chiffre d'affaires tout en Tout, en quoi? Tout en ayant une activité qui a du sens, tout en ayant une activité qui participe à un monde meilleur, tout en respectant ses valeurs, tout en respectant sa vie de famille, tout en tout, en tout, en tout en.

Speaker 1:

En fait, je crois que tu finis pas tes phrases parce que t'en as trop marre quand on te dit ouais, non, mais toi, toi, tu veux le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière. Le pire, ce serait quand même quand on te dit Non, mais toi, tu veux tout. Tu veux pas tout, hein. Tu veux pas les emmerdes, tu veux pas la mauvaise santé, tu veux pas. T' non, non, tu veux 3, 4 paramètres ensemble en même temps.

Speaker 1:

Alors, t'as trouvé une parade, t'as arrêté d'en parler. Pas mal, c'était pas mal, bien essayé. Mais du coup, à l'intérieur de toi, c'est venu, venu, venu, c'est monté, c'est monté et là, c'est là, et tu peux plus fermer la bouche. Et, en fait, tu cherches des gens pour pouvoir dire ta vérité, mais il n'y en a pas beaucoup et t'as trop peur d'être jugé et qu'on te dise que tu veux le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière.

Speaker 1:

Donc, t'as eu une autre astuce, je te connais. La deuxième astuce que t'as essayé de faire, c'est Devenir comme Médiocre, ce que t'avais quitté quoi? Bonne astuce, mauvaise pour toi, mais stratégiquement, c'était pas mal. T'as eu une troisième astuce mauvaise pour toi, mais stratégiquement, c'était pas mal. T'as eu une troisième astuce t'as essayé de comprendre le monde des autres. Oui, comme t'es un extraterrestre, t'as essayé d'aller chez les terrestres, t'as essayé de comprendre comment ils fonctionnaient, ces gens très bizarres, et du coup, t'as appris comment eux faisaient Et t'en as conclu que ça marchait pas chez toi, ce qui est vrai puisque tu n'es pas les autres.

Speaker 1:

Tout ça parce qu'en fait, tu finis pas tes phrases. Donc, le premier truc qu'on va faire, toi et moi, chouchou, c'est que tu vas te mettre à finir tes phrases C'est pas que tu veux gagner plus d'argent, c'est vrai que tu veux gagner plus d'argent, peut-être, tout en quoi Et dis les choses, si t'arrives pas à les dire, ben tu m'en parles à moi. C'est pas que t'es seule, c'est que t'es mal entourée. C'est pas méchant, hein. C'est juste que, à un moment donné, il faut dire les choses. Et Et quand t'es au contact de quelqu'un qui Get it, quoi? Get it? Ouais, j'ai compris, sans que t'aies besoin de te consorcer à expliquer, de faire des phrases qui durent 14 minutes pour qu'on te comprenne.

Speaker 1:

Mais que genre? en une phrase, il y a quelqu'un en face de toi, c'est moi, qui te dis Ouais, ok, et donc, c'est pas que je suis, je sais pas quoi, c'est parce que, juste, on parle le même langage. Mais tu sais même, moi, je vais te demander de te finir tes phrases. C'est pas que tu veux faire plus de chiffre d'affaires, c'est pas parce que tu veux faire plus de ventes, c'est pas parce que tu veux Non, non, non.

Speaker 1:

Je vais te demander de finir ta putain de phrase, d'être vrai, d'être honnête Et de l'exprimer. Mais ça, c'est dur, mais ça, c'est dur. T'as pas appris. T'as pas appris parce le sourire de la crémière, c'est bon.

Speaker 1:

Pas taper, taper une fois, pas taper deux fois, et du coup, tu te la fermes, intéressant, sauf qu'à l'intérieur de toi, à l'intérieur de toi, du coup, tu as de plus en plus tout ça qui vit, qui est nourri, parce que tu ne peux pas t'empêcher de penser, donc, tu ne peux pas t'empêcher de vivre. Donc, tu le vois, ce truc qui se nourrit, qui se nourrit, et au bout d'un moment, ça monte, ça monte, et tu le sens bien, tu ne peux plus faire exprès, et tu sens bien que tu n'es plus prêt ou plus prête à cette médiocrité que tu avais quitté. Donc, là, on va prendre nos responsabilités. La première chose que tu vas faire, c'est finir tes phrases Totalement, tu vas les compléter.

Speaker 1:

Tu sais, tu passes ton temps à dire que les gens, ils utilisent un mot pour un autre, que ce n'est pas assez profond, que ce n'est pas assez vrai, que les gens, c'est de l'à-peu-près. Oui, ça, c'est de l'amalgame. Ok, vas-y, viens. Je sais bien que c'est important d'utiliser les bons mots. Je sais très bien, moi, je peux passer quatre jours pour trouver le bon mot avant de l'exprimer. Oui, je sais, on parle le même langage, toi et moi.

Speaker 1:

Donc, je vais te dire quelque chose. Si tu, donc, je vais te dire quelque chose si tu dois y passer 4 jours, si tu dois y passer 8 jours, si tu dois y passer 3 heures, tu vas y passer le temps qu'il faut, tu l'as le temps pour ça, tu vas trouver les bons mots et tu vas finir ta phrase. Et qu'est-ce qui va se passer, c'est que là, tu vas te rendre compte que cette phrase, elle est extrêmement précieuse, très précieuse, et que, du coup, tu ne peux pas la dire à n'importe qui. Pourquoi?

Speaker 1:

Parce que tu ne veux pas qu'on t'abîme ton jouet. Tu ne veux pas qu'on t'abîme ton secret, ton trésor, ta création. Tu ne veux pas. C'est normal.

Speaker 1:

C'est à toi, c'est grâce à toi que cette chose, elle pourrait vivre. Sacrée responsabilité. Tu as le choix de ne pas la faire vivre. Tu n'es pas obligé. C'est comme si on t'avait confié quelque chose Une pierre précieuse, un, un artefact, un Bijoux, un artefact, un bijou, et toi, tu en as la responsabilité. Tu peux continuer à le cacher, tu peux continuer à le mettre dans un écran. C'est toi qui vois ça.

Speaker 1:

Il n'y a pas besoin de l'exposer, forcément. Mais déjà, prends soin de ce trésor-là, lustre-le, lustre-le, taille-le, entretiens-le à l'intérieur de toi Et du coup, forcément, ne fais pas l'erreur d'en parler à n'importe qui. Il serait capable de te dire que c'est de la merde. Il serait capable de te dire que c'est pas possible. Il serait capable de te dire que c'est de la merde. Il serait capable de te dire que ce n'est pas possible. Il serait capable de te dire que tu veux le beurre, l'argent du beurre et de la crémière Arrête, prends-en soin, vraiment.

Speaker 1:

Alors, si tu as la chance d'avoir des enfants, tu sais bien que quand on devient parent, on est la cible de tout un tas de conseils qu'on finit par ne jamais écouter, parce qu'on est quand même les meilleures personnes pour prendre nos décisions. Alors pourquoi, dans l'entrepreneuriat, ce serait différent? Parce que souvent, tu as imaginé que l'entrepreneuriat, c'était un domaine tout à fait à part, où là, on pouvait écouter les conseils des autres, de ceux qui savent, de ceux qui savent parce que tu as jugé qu'ils savent, parce qu'ils ont le début de la phrase, un meilleur chiffre d'affaires, plus de clients, plus de leadership, plus de Sauf, que tu as oublié de finir ta phrase. Donc, eux, ils vont t'apprendre comment ils font pour le début de la phrase. Ça ne conviendra jamais parce qu'il manque la fin de la phrase.

Speaker 1:

Imagine moi, je te dis tu vois, j'ai 40 ans, je vois bien que j'ai des rides, je vois bien que ma peau change. Je vois bien, et j'aimerais améliorer le grain de ma peau. Il manque un bout là. C'est quoi les conditions? Ah, oui, mais attends, bien évidemment. Mais non, il n'y a pas besoin de le dire de manière naturelle, sans produit à part l'alimentation, qu'avec des choses bio qui viennent de la terre. Ah, la, voilà la fin de la phrase. La voilà.

Speaker 1:

Mais si tu dis pas la fin de la phrase, tu es capable d'acheter une formation sur le Botox parce que tu t'es pas rendu compte, tout simplement parce que tu n'as pas fini ta phrase. Et du coup, tu ne l'as pas conscientisé, tout en te disant oui, non, mais c'est évident, sauf que quand tu es dans un processus de recherche de solution, tu ne cherches pas la bonne solution puisque tu n'as pas complété la phrase. Et je vais aller plus loin que ça. Souvent, tu as analysé le problème en partant du principe que il y avait un problème. Et le problème que tu es en train de résoudre, c'est très souvent le problème que les autres ont à ton contact Et donc, tu essayes de résoudre le problème que les autres voient alors que toi, tu vois, pas de problème. Je te donne un exemple. Je pense qu'on s'est quand même bien compris.

Speaker 1:

J'ai fait un partage qui s'appelle tu crois que t'es la seule? ou tu crois que t'es le seul, alors prends ta responsabilité. Si tu ne l'as pas encore écouté, mets-moi un commentaire en dessous en me disant Prendre tes responsabilités, ou Va chercher de ton côté ce partage, parce qu'il y a vraiment besoin de l'écouter pour compléter ce que je suis en train de dire aujourd'hui. Et donc, qu'est-ce qui se passe en fait? C'est que, comme tu crois que tu es le seul ou la seule à voir la situation comme tu la vois ce qui est très certainement vrai puisque tu es là pour ça tu essayes de faire comprendre aux autres pourquoi c'est important qu'ils regardent les choses autrement.

Speaker 1:

Mais ces gens-là, ils existent déjà, ils n'ont pas besoin qu'on le leur dise. Par exemple, toi, ce que tu veux, c'est que les gens s'engagent sur ton sujet, peu importe ce que c'est, sur du long terme. Voilà, c'est important pour toi, que les gens s'engagent dans la durée, que les gens s'engagent dans la profondeur des choses. Tu vois, c'est pas un truc qui se fait en trois jours, clic-clac, codac, quoi? Tu vois?

Speaker 1:

OK, tu n'as pas besoin d'expliquer pourquoi c'est important de s'engager sur le long terme. Ça, c'est l'évidence, ça, c'est le normal. Il n'y a même pas besoin d'en parler. Si tu as besoin d'en parler, personne. J'avais une cliente, elle avait eu un témoignage, et sa cliente à elle, sur le témoignage, elle va se reconnaître Sa cliente à elle disait oui.

Speaker 1:

Du coup, j'ai participé à un petit accompagnement d'un an. Ben oui, ben oui, parce qu'en fait, un an, c'est beaucoup, c'est rien, c'est long, c'est court, j'en sais rien moi. Alors là, par exemple, mon exemple. Il vient sur la durée, il peut venir sur la profondeur, il peut venir sur l'engagement, il peut venir sur le sujet.

Speaker 1:

Arrête de résoudre un problème qui n'est pas un problème. Si toi, si toi, tu penses que tu es le problème, que tu es la seule à, forcément, tu vas essayer de résoudre le problème qui te t'éloigne des autres. Mais c'est qui, les autres? Donc, au lieu de faire ça, je vais te donner la solution. C'est offert, c'est le cadeau de la maison.

Speaker 1:

Pars du principe que tu n'es pas le problème. Pars du principe que tu n'es pas le problème, pars du principe que tu es normal, mais que tu t'adresses pas à la bonne famille. C'est comme si tu parlais chinois à des japonais. Ça marche pas Pourquoi? C'est parce que t'as peut-être pas des preuves qu'il y a d'autres chinois qui existent, qu'il y écoute.

Speaker 1:

Moi, je parle le langage des Strubook. Je n'en ai jamais rencontré et donc, du coup, ce que je vais faire, c'est que je vais continuer à parler Strubook jusqu'à ce qu'il y ait quelqu'un qui dise moi aussi je parle Strubook. Et moi, 100% des clients me disent putain, enfin, laetitia, quand on t'a trouvé, on parle le même Langage. Oui, c'est vrai, c'est vrai, ils ont raison. Alors, attends, ça m'a demandé quoi, moi? Il y en a qui posent la question là, excusez-moi, dans l'audience, est-ce qu'il y a quelqu'un qui pose la question de comment ça se fait?

Speaker 1:

Ça se fait parce que moi, laetitia, je n'ai pas arrêté de parler mon propre langage, je ne me suis pas contorsionnée à parler le langage des autres, ou, en tout cas, j'ai décidé d'arrêter de le faire. Alors, s'il te plaît, arrête tout de suite et parle ton langage tout le temps, tout le temps, tout le temps. Et quand on ne parle pas le même langage que toi, je vais te donner une autre solution tu te barres, tu n'as rien à foutre là. Ton temps est trop précieux, on ne peut pas le remplacer. Ce temps, il vaut mieux que tu ne fasses rien. Tu vois, parle ton langage et ça, c'est ta responsabilité.

Speaker 1:

Avec moi, on parle beaucoup de responsabilité parce qu'on parle de liberté, on parle de vérité et on est obligé de parler de responsabilité. Quand on parle de liberté et quand on parle de vérité, on est obligé. Obligé de parler de responsabilité. Quand on parle de liberté et quand on parle de vérité, on est obligé. Dans toutes les conversations où tu ne parles pas le même langage, tu te barres, tu n'as rien à foutre là, tu ne comprends rien, on ne te comprend pas, on s'en fout, on s'en fout.

Speaker 1:

Par contre, notre responsabilité, c'est de trouver les autres, c'est de trouver les ch'troubouks, les autres ch'troubouks. Où sont les ch'troubouks? C'est ça qu'on doit faire Et ça, ça part tous les jours. Je continue à parler ch'troubouk, je continue à parler ch'troubouk, je continue à parler ch'troubouk. Et un jour, il y a quelqu'un qui parle stroubouc.

Speaker 1:

Et oui, mais en fait, si, pendant un instant, tu as parlé un autre langage, il ne saura pas. Du coup, il va passer à côté de toi, il ne se rendra pas compte que c'est quelqu'un des tiens. Parle ton langage et, au lieu de résoudre le problème que les autres ont à ton contact, parle des solutions pour ta vraie famille. Et souvent, le truc, c'est que. Mais moi, je le sais, on me dit Laetitia, t'es un extraterrestre, t'es un ovni. J'adore, en plus, j'adore qu'on me dise ça. J'adore, parce que j'ai très, très souvent l'impression de venir d'une autre planète et mais rien me dit en fait que ce n'est pas moi qui appartiens ici et que c'est les autres qui seraient des extraterrestres. Ça dépend de l'histoire que je me raconte et que j'ai envie de me raconter, celle qui est agréable pour moi.

Speaker 1:

Mais dans tous les cas, ma quête, elle est où De parler à ma famille, de trouver ma famille. Évidemment, quand je parle famille, c'est au niveau symbolique. Je ne parle pas de la famille que tu conçois ou de laquelle tu viens, on est d'accord. Je ne te parle pas de chercher ta famille, je te parle de trouver ta famille. On s'en fout de la chercher. Ce qu'on veut, c'est la trouver.

Speaker 1:

Et tu vois, quand on peut chercher Charlie dans le livre, c'est parce qu'il est habillé d'une façon. Alors, ça peut être ton langage, ça peut être tes images, ça peut être ta profondeur, ce que tu offres, comment tu l'offres, comment tu en parles, qu'est-ce que tu en dis, la récurrence avec laquelle tu le fais, parce qu'imagine, imagine si tu étais entouré vraiment, vraiment, vraiment, de gens que tu ne comprennes pas, mais pas du tout. Tu ne comprends pas leur langage, tu ne comprends rien du tout. Imagine tu t'es adapté à rien.

Speaker 1:

Et si, pour survivre, tu'avais besoin de trouver d'autres Strubook, je te garantis que ce poste tu le ferais tous les jours, que ta voix tu la parlerais tous les jours, que tu sortirais tous les jours devant chez toi et que tu ferais des tours et des détours pour trouver les autres Strubook. Le truc, c'est que, comme tu t'es un peu habituée aux autres, ouais, t'évites, il y a encore le temps. Mais en fait, ce que t'évites, c'est pas les autres, c'est t'évites ta puissance, t'évites ta vérité, t'évites ta responsabilité, t'évites ta liberté. Et ça, ça me rend triste, parce que moi, je suis l'élulu là, je suis l'élu pour la liberté et ça me pose un problème parce que, quelque part, si tu fais pas ça, moi j'ai un peu failli dans ma mission et ça, ça m'emmerde parce que ça, c'est ma responsabilité. Donc, on va faire un truc simple, toi et moi, chouchou, tu vas respirer un grand coup. Donc, on va faire un truc simple, toi et moi, chouchou, tu vas respirer un grand coup, tu vas finir tes phrases Et tu vas utiliser ton langage, ton langage à toi, sans le changer, sans le rendre plus compréhensible, sans le rendre plus.

Speaker 1:

Ceci plus, non, non, non. Si dans ton langage ça doit être beau, je veux que ce soit beau. Si dans ton langage c'est joli, je veux que ce soit joli. Si dans ton langage c'est vulgaire, c'est vulgaire. Si dans ton langage c'est joyeux, je veux que ça p On a besoin de toi, comme toi t'es, on a besoin. Alors, continue, continue.

Speaker 1:

Puis, si tu veux parler le stroubouk, on a une liste de remplis de stroubouk Et on parle de ce langage-là. Il est temps maintenant, il est temps d'arrêter de faire semblant. Tu nous rejoins. Et si tu as besoin d'un cadre sécure dans lequel on te comprend, moi je sais faire ça, c'est mon métier. Je comprends les autres Strubook, genre, il n'y a pas besoin de s'expliquer. Et on crée un cadre dans lequel tu peux vivre joyeusement, légèrement, en étant un stroubouk. Et là tu es là, comme en train de me dire attends, ça existe vraiment, les stroubouks? Non, enfin, peut-être, je ne sais pas, on va les inventer, on s'en fout. Donc, si t'as un Strubook, tu m'écris, tu m'écris je sais pas, un message privé et tu m'écris Strubook. Et on trouve un moyen que moi, je t'accompagne. Il me tarde vraiment. Je suis de celles qui prennent la responsabilité, qui s'engagent vraiment, parce que la liberté est beaucoup trop importante, beaucoup trop pour la laisser passer. Tu m'écris, j'attends ton message.