Tu sens que qq chose de plus grand t'appelle mais tu n'oses pas | Laetitia MARTOS

Nous explorons comment assumer et exprimer les grandes visions qui nous appellent, en transformant les pensées intérieures en actions concrètes. Ce processus nous libère du piège mental qui consiste à analyser excessivement nos aspirations au lieu de les affirmer.

• Pourquoi nous hésitons à exprimer nos grandes visions: les dire les rend réelles et nous engage
• L'importance d'externaliser nos pensées plutôt que de les laisser tourner dans notre tête
• Comment notre mental, conçu pour nous protéger, sabote nos aspirations par excès d'analyse
• La puissance transformative de partager nos visions avec une personne de confiance
• Comment passer rapidement de "j'ai une vision" à "comment je commence"
• Les trois clés pour assumer ses grandes idées: sortir de sa tête, parler à quelqu'un de confiance, et agir
• Pourquoi les "cerveaux délicieux" sont particulièrement susceptibles de sur-analyser leurs visions

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Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.

Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.

Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.

Chapters

• 1:47 Comment assumer ce qui nous appelle
• 5:22 L'entreprenariat et l'évolution personnelle
• 9:06 La peur de rendre nos pensées réelles
• 14:28 Sortir les idées de notre tête
• 19:13 Les clés pour assumer ses visions
• 22:23 Invitation aux affranchis

Transcript

Speaker 1: 0:54

Aujourd'hui, on va répondre à cette grande question qui s'intitule un peu ou qui s'exprime un peu de cette façon comment faire quand je sens que quelque chose de plus grand m'appelle, mais que j'ose pas vraiment le dire tout haut? On va rentrer dans le vif du sujet direct. Ça veut dire que si on le disait tout haut, quelque part, ça rendrait les choses un peu vraies. Voir, on devrait peut-être complètement assumer ce truc qu'on a dit tout haut quelque part. Ça rendrait les choses un peu vraies. Voir, on devrait peut-être complètement assumer ce truc qu'on a dit tout haut. Alors que quand on se le dit dans la tête, ça passe, ça ne fait que nous embêter à nous-mêmes. Et là, on est d'accord avec ça, là on est ok, c'est bon, ça me tourne dans la tête, ça reste là, c'est ok. Alors que si je le dis à quelqu'un, si je le dis en plus à quelqu'un en qui j'ai confiance quelque part, je devrais peut-être un peu assumer Quelque part, ça le rendrait vrai, quelque part, ça voudrait dire que j'assume ce qu'il y a dans ma tête Et tu comprends que, du coup, le sujet, il est bien plus grand que la toute première question qui était comment faire quand je ressens que quelque chose de plus grand m'appelle, mais que je n'ose pas le dire tout haut. Ce n'est pas la question de le dire tout haut, c'est la question qu'on sait très bien ce qui se joue une fois que je vais l'avoir dit tout haut. Et c'est de ça, donc, dont on va parler. On va parler de la vraie question aujourd'hui. Je m'appelle Laetitia Martos, on m'appelle aussi The Mother of the Dragons, la mère des dragons, la mère des enfants sauvages.

Speaker 1: 2:30

Depuis 12 ans, je guide les esprits brillants, les gens avec un intellectuel et une rationalité forte Et, en fait, en m'écoutant, en me regardant vivre ma vie, ils finissent par oser vivre la leur Et j'en ai fait mon métier. Voilà, donc, ça fait 12 ans que je fais ça. Ici, tu n'es pas là pour m'écouter. Tu n'es pas là pour m'écouter pour savoir que j'ai la recette, parce que j'ai un business qui cartonne, parce qu'on fait l'instruction en famille en plus de ça, parce que je vis dans la pampin, parce que je suis coolosse et parce que j'adore ce que je fais. Ici, là, si tu es là, c'est pour t'écouter pendant que je parle.

Speaker 1: 3:18

Donc, dans l'ensemble de mes partages, je vais parler de tout un tas de thèmes, comme l'ambition, la réussite, l'écoute de soi, le business, la parentalité, etc. Mais peu importe, en fait, ça marche toujours pareil. Je suis là pour que, pendant que tu m'écoutes d'une oreille, tu t'écoutes de l'autre oreille Et, en fait, si tu retiens un seul truc aujourd'hui, c'est ça, voilà. Donc, ça fait 12 ans que je suis entrepreneur, ça fait un peu moins de 4 ans que je suis sur les réseaux sociaux, ces sujets dont je parle en off, avec les dizaines et centaines d'entrepreneurs que j'ai accompagnés jusque là. J'ai envie de le mettre, de monter le volume plus fort Et donc, j'ai pour objectif de toucher 100 000 vies dans les trois prochains mois.

Speaker 1: 4:09

Ce qui veut dire que si ce message t'impacte, dis-le-moi, dis-moi comment Et surtout, si tu sens que ce message, il est important pour quelqu'un d'autre, tag cette personne en dessous ou envoie-lui le lien de cette vidéo pour que cette personne puisse l'entendre. Voilà donc, si tu ressens de l'inconfort, de la joie, de l'incompréhension, du doute, mais surtout, surtout, surtout, l'envie de t'écouter, c'est normal. Je suis là pour ça. je vais te raconter une histoire. Moi, il n'y a pas si longtemps que ça, ça m'arrive, on va dire entre une et deux fois par an. Je ressens que ce que j'ai fait jusque là, c'était bien, mais franchement, je pourrais aller plus loin.

Speaker 1: 4:56

Et comme ça fait 12 ans que je fais ça, tu vois, ça m'est arrivé au moins 30 fois Alors, dans le business, les gens appellent ça pivoter, pivoter, voilà, c'est-à-dire faire évoluer son business, faire un pivot, faire un changement. Alors, c'est vrai que ça peut s'appeler comme ça, mais moi, je ne raisonne pas avec le vocabulaire du business, même si c'est ce que je fais. Voilà, je ne peux pas nier que j'ai une entreprise qui marche très bien, je fais du chiffre d'affaires, j'ai des charges, je paye des impôts, etc. Je ne peux pas nier ça. Mais en gros, moi, je résonne avec le vocabulaire de la vraie vie Et le business, il me semble que c'est d'abord moi, c'est-à-dire moi qui évolue, et comment, en fait, mon entrepreneuriat, pas que mon entreprise, mon entrepreneuriat évolue, Mais en fait, c'est la même chose que ce qui se joue dans ma famille, que ce qui se joue dans ma parentalité, que ce qui se joue dans ma maternité, c'est-à-dire que moi j'évolue.

Speaker 1: 5:57

Il y a quelque chose qui me fait évoluer, qui vient de l'extérieur, qui vient de l'intérieur, et du coup, moi j'évolue. Pendant que j'évolue, tout évolue, c'est-à-dire la relation avec mon chéri, la relation avec mes amis, mon lieu de vie, mon aménagement, mon, les activités que je peux avoir. Voilà tout ça. Donc, du coup, l'entreprise et l'entreprenariat font partie de ma vie et donc, si moi je change, si moi j'évolue, il y a tout qui évolue. Et ça, c'est vraiment fondateur parce que, pour moi, l'entreprenariat n'étant pas divisé avec le reste, ce n'est pas un domaine à part.

Speaker 1: 7:10

No-transcript. Je pose ce contexte parce qu'il est important pour la suite. Tu continues à t'écouter pendant que je te parle. Tu n'es pas là pour m'écouter, tu es là pour t'écouter pendant que tu m'écoutes l'autorappel, parce que moi, je n'ai pas besoin d'être acclamée, je n'ai pas besoin d'être inspirante, tout ça, je m'en fous. Je suis là pour que le message aille entre les bonnes oreilles et, surtout, qu'il change la vraie vie de tous les jours.

Speaker 1: 7:47

Donc, être inspirante, je le suis, c'est bon, ça, je le sais. Ce que je veux, c'est que il n'y a pas longtemps, encore une fois, et du coup j'ai tardé à le dire, un jour, deux jours, c'est beaucoup chez moi, j'ai fait un live sur la façon comment je fais pour réussir ma vie. Si tu veux le voir, tu me mets un hashtag, deux points pour réussir ma vie, et je t'enverrai le lien. Et ça, ça fait partie des choses où, moi, je ne mets pas longtemps entre le moment où je réalise quelque chose et le moment où je le fais. Et là, en fait, c'était tellement grand, tellement grand, ma vision, que je me suis dit non, mais en fait, c'est trop fou, quoi? Qui je suis pour partager ça? Non, mais c'est bon. Je m'appelle Laetitia.

Speaker 1: 8:37

Certes, j'ai réussi ma vie. Certes, j'ai un business qui va très bien. Certes, je fais des milliers d'euros. Certes, j'ai des clients brillants. Certes, je fais ça depuis plus d'une décennie.

Speaker 1: 8:47

Certes, tout ça, mais en fait, là, c'est un pas too much, c'était too much pour le dire, parce que quand tu le dis, du coup ça le rend vrai, et du coup, ça t'engage un peu auprès de la personne à qui tu le dis, parce que, du coup, il y a quelqu'un d'autre que toi qui te regarde. C'est ça le vrai sujet. Et donc, je dis ben, en fait, tu sais quoi? J'ai peur de le dire parce que ça le rendrait plus vrai, parce que je serais engagée auprès de la personne à qui je vais le dire.

Speaker 1: 9:24

Et du coup, ce truc-là, ce grand truc, tu le dis toujours à des gens à qui t'as confiance. Donc là, moi, je le disais à mon mari, et Mais c'est ça qui est surtout super engageante, tu, et donc, je me suis installée un soir, je lui ai dit voilà, j'ai quelque chose d'hyper important à te dire, et voilà ce que je vois pour moi. Et là, je lui ai dit j'ai besoin un peu de temps pour accoucher du truc. Quoi? parce que tout ça, je l'avais dans la tête, je l'avais écrit sur mon petit cahier, tout ça, mais je l'avais surtout dans ma tête. Et là, en fait, une fois que ça passe de la tête envers les mots et que les mots, ils vont dans une autre oreille, ça y est, c'est réel.

Speaker 1: 10:07

Ça ne veut pas dire que quand c'est que dans ta tête, ce n'est pas réel. Ça veut dire que quand c'est que dans ta tête, t'as l'impression que c'est bon, c'est que dans ta tête, c'est au grenier, y'a personne qui le voit, mais tout le monde le sent, sans savoir ce qui se joue. Donc, quand tu le passes de ta tête à tes mots et que tes mots, il y a quelqu'un d'autre qui les écoute en face, ça le rend réel, petite parenthèse. D'où l'importance des mots qu'on utilise. Ça marche pendant cette discussion, mais ça marche dans plein d'autres discussions sur ce qu'on se raconte de nous-mêmes dans nos têtes, parce que ça le rend aussi réel, que ce soit positif ou négatif. Petite parenthèse, extra bonus entre nous. Là, je ferme la parenthèse. Reprenons, et donc, du coup, quand on le voit si grand, il y a tout un tas de réflexions. Si on n'a pas la discussion avec la personne en qui on a confiance, etc.

Speaker 1: 11:11

Tout de suite ça va rester dans notre tête Et là notre mental va être la personne à qui on en parle dans notre tête Et lui son objectif. On l'a dit et redit l'objectif de notre mental, c'est de faire un statu quo, qu'il n'y ait pas de changement pour nous tenir en sécurité. Donc, c'est pas son job à lui de nous dire mais oui, mais c'est super. Non, notre mental, on l'embauche pas pour ça, on l'embauche pour nous tenir en sécurité. Tout grand changement est de l'insécurité pure.

Speaker 1: 11:46

Donc, première clé que je te donne ici quand t'as quelque chose de grand dans ta tête, parle-en avec quelqu'un à l'extérieur de toi. C'est-à-dire pas toi, pas une partie de toi, surtout pas ton mental, mais parle-en avec quelqu'un en qui t'as vraiment confiance, à un moment où cette personne est pleinement disponible. C'est-à-dire dire prends rendez-vous avec cette personne, même si c'est ton mari, même si c'est ta femme, même si c'est ton, ta meilleure amie ou ton meilleur ami ou ton je sais pas qui, ton père? ok, ok, prends rendez-vous avec cette personne en lui disant voilà, là, il y a quelque chose qui se joue, parce que ça, ça sacralise un petit peu le moment et ça va te permettre de passer de j'ai quelque chose dans la tête à j'assume avoir cette chose dans la tête, et tu verras que, de toute façon, la réaction de la personne en face, elle, sera de toute façon beaucoup moins malveillante que tout ce que ton mental pourrait te dire. Si t'attends Parce que si tu attends, qu'est-ce qui se passe? C'est ton mental qui te répond.

Speaker 1: 12:42

Donc, c'est deux parties de toi qui s'interrogent, qui se questionnent, qui discutent, dont une partie, c'est le mental, dont le seul objectif, c'est que ça ne change pas. Je ne dis pas que le mental est une mauvaise chose. Je dis que le mental est super bien parce qu'il nous tient en sécurité. Mais là, on n'a pas besoin de sécurité, là, on a besoin d'assumer nos pensées. Et donc, quand, moi, j'ai pu dire ce que j'ai dit à mon mari, j'étais comme ok, je m'entends parler, je m'entends parler Et j'entends la vision immense que j'ai pour moi, je louche.

Speaker 1: 13:15

Non, je suis tellement prêt. Et donc, à partir du moment où j'ose le dire avec des mots, ça le rend vrai. Et là, on passe à la deuxième partie. Cette deuxième partie, c' c'est ok.

Speaker 1: 13:31

Parmi tout ça, qu'est-ce que j'assume? parce qu'une fois qu'on le on a le rendez-vous, là, la personne, elle, nous dit ben oui, ben voilà, je t'écoute. Et dis-moi alors tu vois, en fait, j'avais un truc dans ma tête, mais je ne l'assume pas tout à fait Oui, ben, vas-y, je t'écoute, mais vas-y, je t'écoute. Oui, c'est justement le problème. Et là, tu vas devoir accoucher de ce que tu as dans ta tête, qui sera certainement un peu en bordel, d'où l'intérêt que ce soit quelqu'un de confiance et qui ne soit pas là pour se faire l'avocat du diable, qui ne soit pas là pour te donner son avis, qui ne soit pas là pour je sais pas quoi d'autre que de t'écouter. Donc, le choix de la personne chez qui tu vas déposer ton grand truc est primordial.

Speaker 1: 14:25

J'ai fait une vidéo sur ça, ça s'appelle Choisir ton équipe de soutien. Mets-moi équipe de soutien en dessous, ou si t'es grande, ou si t'es grand, tu vas le chercher sur tous mes réseaux et tu le trouveras. Et, en gros, ça, c'est primordial, parce que ça va rendre vrai quelque chose et les mots qui se sont transmis vont te dire ok, maintenant, qu'est-ce que je fais? Parce que, du coup, tu ne vas plus être dans juger la grandeur de ta vision, mais tu vas être dans la seule et unique question qui vaille. Comment je commence? et si je te dis ça, si je te raconte ça, c'est parce que, en fait, on a, nous, les intellectuels, là, les cerveaux délicieux. On a cette capacité de réflexion, d'analyse, etc. En profondeur, en multidimension, etc. Génial, on est super. Mais en fait, c'est aussi un problème dans le sens où tout ce qu'on garde dans notre tête, on va le modifier, l'analyser, le processiser sur tous les angles. Mais putain, on fait ça tout le temps Et donc, on fait ça avec nos propres idées.

Speaker 1: 15:44

Grand ressenti Quand tu sens une évidence, t'es pas là pour l'analyser. Le but, c'est pas de l'analyser, de le processer, de le structurer, non, non, non, non, c'est déjà de l'assumer. Et tant que tu le gardes dans la tête, t'as tout le monde là, le comité de direction intellectuelle qui va tout analyser Et qui va te faire des feedbacks actuelle, qui va tout analyser et qui va te faire des feedbacks. Alors, selon moi, moi, je pense que c'est un peu risqué quand même, parce que t'as la peur là qui va te dire non, mais t'es complètement tarée.

Speaker 1: 16:20

Ça fait trois ans que tu travailles sur tel truc. Tu vas pas tout changer maintenant, non, mais t'es complètement con. T'as la créativité qui fait oh, génial, trop bien, enfin, enfin, c'est croustillant. Et toi, tu es au milieu et tu es paumé. Tu es complètement paumé. Et donc, ce qui est vraiment important là, c'est que quand tu as une grande vision pour toi, ne la laisse pas processer dans toutes les parties de toi.

Speaker 1: 16:45

Assume-la rapidement. Prends rendez-vous avec quelqu'un de confiance, quelqu'un qui sait écouter. Si tu n'as personne qui sait écouter, il y a des gens. Il y a des gens qui existent, qui sont là juste pour écouter. Tu les payes et ça va être comme ce serait un coach ou voilà, mais c'est des gens qui écoutent sans juger.

Speaker 1: 17:03

Et là, le fait de toi de le transmettre en dehors de toi, waouh, l'ouverture. Ah, ouais, j'ai dit ça. Et là, ensuite, la seule question que tu vas te poser, c'est ok, et du coup, maintenant, comment je commence? Et là, on est dans, évidemment, le vrai premier pas qui va rendre enfin le vrai premier? non, puisque c'est déjà le second, le vrai second pas qui va rendre ta vision réelle.

Speaker 1: 17:31

Et si je te dis ça, c'est parce que ça, c'est un point de départ. Le point de départ, c'est avoir ta vision et ne pas la laisser processer dans ton intellect, surtout si tu as un cerveau délicieusement différent. Ok, assume-la. Et si tu n'as personne, tu viens, tu me l'écris à moi. On va faire ça, tiens. Ouais, on va faire ça.

Speaker 1: 17:56

Tu vas me l'écrire à moi, ok, parce que moi je saurais l'écouter, je saurais ne pas la juger. Alors, tu me l'écris, tu ne me fais pas un vocal de 17 minutes. Voilà, si tu veux me faire un vocal de 17 minutes, tu viens me parler. On fait un accompagnement individuel en one-to-one, sinon tu me fais un message et tu me l'écris. Et moi, ce que j'ai fait, c'est que quand j'ai assumé grand, j'ai aussi assumé ce que je voulais.

Speaker 1: 18:22

Et, par exemple, j'ai ouvert une liste avec des abonnés par mail, parce que j'adore communiquer par mail et les gens, en général, ils n'aiment pas forcément, donc, ils ne reçoivent que moi par mail. Donc, ça, c'est trop bien. Et cette liste, je l'ai appelée les affranchis. Au moment où j'enregistre ce live, on est 822. Il y a 822 affranchis inscrits dans cette liste, à qui j'envoie chaque semaine une nouvelle perspective, comme ça, pour voir la vie, le business, la parentalité de manière différente, c'est-à-dire en s'écoutant soi-même. Donc, en dessous, je vais mettre le lien vers cette liste.

Speaker 1: 18:56

Vraiment, j'attends de toi que tu t'inscrives pour qu'on puisse avoir ce genre de conversation. La deuxième chose, c'est dis-moi comment ça t'impacte, qu'est-ce que tu vas changer, qu'est-ce que tu vas modifier Et surtout, surtout sans forcer. La prochaine fois que tu as une grande vision de toi, que tu ressens dis-la, dis-la, formule-la, n'attends pas deux jours, n'attends surtout pas trois jours. Pourquoi? Parce que, sinon, tu vas la processer, tu vas la grignoter, ça va être un espèce de tronion de pommes, tout pourri, tout sec, là, et à la fin, il ne restera rien et donc, tu vas être comme. Mais c'était nul en fait. Ah oui, mais comme d'habitude, j'ai des grandes idées, mais alors quoi? Alors, je ne les assume pas, voilà. Alors, si, par contre, tu as un souci pour assumer les choses, première clé que je te propose, c'est vraiment d'arrêter de passer du temps dans ta tête. Deuxième clé de le dire à quelqu'un de confiance. La troisième clé tu viens bosser avec moi, tu viens bosser avec moi.

Speaker 1: 19:57

A ma liste, dans les affranchis, j'envoie à peu près tous les mois, parfois deux fois par mois, une possibilité de travailler avec moi en direct. Voilà, donc, tu t'abonnes et il n'y a que à cette liste, que j'envoie les possibilités de travailler avec moi. Si tu sens qu'il y a quelqu'un autour de toi qui bénéficierait tout autant, voire plus, de ce contenu que toi, tu lui partages ce message. Il y a besoin qu'il y ait plus de gens qui l'entendent. Il y a besoin de savoir que nous, nos cerveaux délicieux, leur objectif est de processer l'information. Plus on leur donne d'informations, plus ils vont en processer. Quelle soit notre grande vision, ou que ce soit la liste des courses ou les menus de la semaine, ils les processent de la même façon.

Speaker 1: 20:38

Mais là, cette fois-ci, pour l'assumer, on n'a pas besoin de ce process. Pourquoi? Parce que sinon, ça va le grignoter, ça va le rabaisser et ça va pourrir notre estime de nous-mêmes. Donc, on a besoin de notre intellect, mais pas sur ce sujet là. Voilà, merci d'avoir été là et rappelle-toi toujours que je suis là pour que tu projettes sur moi et que ça te renvoie ton idée à toi. En vrai, j'existe pas vraiment. J'existe parce que tu me regardes. Donc, tu me regardes que avec tes yeux, tu me regardes que avec ce que tu es. J'existe que parce que tu renvoies des choses sur moi. Donc, écoute-toi, parce que ta seule vérité, c'est toi qui l'as. Moi, je la possède pas. J'en ai une et c'est peut-être pas la tienne. Donc, l'objectif, c'est que tu t'écoutes toi-même. Si tu veux travailler avec moi, tu me fais un message en privé, tu m'écris, tu vas sur mon site internet et on voit comment travailler ensemble. Sinon, tu t'inscris sur la liste des affranchis. Je t'attends.