LES AFFRANCHIS

Au secours je suis paralysé(e) par mon mental, comment faire ? | Laetitia Martos

Laetitia MARTOS Season 4 Episode 10

La paralysie mentale nous touche tous à un moment ou un autre, ce moment où notre cerveau semble se bloquer complètement, nous empêchant d'avancer dans nos décisions les plus importantes. Mais que se passe-t-il quand on décide de prendre une décision radicale, comme arrêter de travailler à 39 ans, sans avoir la sécurité financière qu'on croyait indispensable?

Dans ce témoignage authentique et puissant, Laetitia, connue également comme la "Mother of Dragons", partage l'histoire personnelle qui l'a amenée à questionner profondément ses croyances limitantes. Tout commence lors des funérailles d'un proche....

À travers trois clés fondamentales et pratiques, Laetitia explique comment elle a transformé sa relation avec son mental. 

Rejoignez "Les Affranchis", sa communauté de plus de 800 personnes qui reçoivent chaque semaine des perspectives nouvelles pour se reconnecter à leur essence véritable. Et n'oubliez pas : votre message est plus important que l'enveloppe dans laquelle il est délivré. Quelle action allez-vous entreprendre aujourd'hui pour vous libérer de votre paralysie mentale?

Si toi aussi, tu veux m'écrire une lettre manuscrite clique ici et envoie le mot "LETTRE""

Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.

Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.

Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.

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Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.

Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.

Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :

🌸 Élever ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition

🌸 T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs

🌸 Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.

Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.

Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.

Retrouve moi dans des espaces intimes et puissants d'accompagnement, c'est mon métier depuis 12 ans sur www.laetitiamartos.com

Speaker 1:

bonjour et bienvenue. Je te souhaite la bienvenue pour parler de ce thème comment faire quand mon mental me paralyse? et à parler de ce thème parce qu'il est vraiment extrêmement important. J'ai fait des centaines de vidéos, des centaines de live. C'est la première fois que tu vas me voir avec un papier, et pourquoi j'ai un papier, je te l'explique. Si tu es habitué à me regarder depuis ces quatre dernières années, c'est parce que je suis en train de vraiment prendre une nouvelle place. Cette nouvelle place, elle est de se dire que je me choisis. Je me choisis pour délivrer ce message parce qu'il n'y a personne qui le fera à ma place. Et donc, j'ai fait le choix de vouloir impacter et de faire ma part pour impacter 100 000 vies dans les 3 prochains mois, et pour ça, je vais avoir besoin de toi. Je t'en parlerai tout à l'heure, donc, si tu ne me connais pas, par contre, je m'appelle Laetitia. On m'appelle aussi la Mother of the Dragons, la mère des enfants sauvages, et ça fait 12 ans que les esprits brillants regardent ma vie pour oser vivre la leur. Ils s'inspirent de la façon dont je vis ma vie pour créer la leur Et, clairement, avec moi, t'es pas ici pour consommer du contenu, encore moins du contenu snacking, facile à digérer et facile à chier. On est bien d'accord. Mon but, ça va être de toucher, avec le message que je porte, 100 000 vies dans les 3 prochains mois, et si tu m'écoutes aujourd'hui, c'est que t'es déjà l'une d'entre elles. Donc, merci vraiment beaucoup. Et si tu sens que ce message pourrait vraiment aider, j'ai besoin vraiment que toi tu choisisses. S'il pourrait vraiment aider quelqu'un, tu peux le taguer, lui envoyer cette vidéo, lui transmettre, raconter ou bien encore mieux, tu sais quoi, c'est mettre en place ce que je vais te raconter et qu'une autre personne puisse s'inspirer de ta vie. Ça, ce serait génial. Puis, tu peux faire tout ça aussi aujourd'hui, je vais t'amener là où, justement, le mental n'a aucun contrôle. Donc, il est possible que tu ressentes des émotions d'inconfort, de questionnement, de doute, de waouh, d'inspiration, etc. C'est normal. C'est ce pourquoi je suis là et surtout, surtout, je suis pas là pour que tu m'admires. Je suis là, je suis née pour que, quand je te raconte cette histoire, ça te permette de créer ta vie à toi. Donc, pendant tout ce live, je vais te le dire, écoute-moi d'une oreille, mais surtout écoute-toi de l'autre oreille, écoute-toi en priorité pendant que je te raconte. Alors, tu peux noter des choses, parce que tu vas voir qu'il y a beaucoup de choses qui vont ressortir. Voilà, donc, moi, ce que je vais faire, c'est que je vais te raconter une ou deux histoires et je veux que tu écoutes ce que ça fait à l'intérieur de toi et ce que ça te demande de modifier par rapport à ce thème.

Speaker 1:

Comment faire quand notre mental, nous nous paralysent? et donc, évidemment, la question en dessous, c'est, du coup, comment faire pour se reconnecter à notre intuition, à ce qui nous semble évidemment couler de source, mais quand le mental, il reprend toute la place. Alors, je vais te raconter, je te raconter une histoire. Peut-être que tu te reconnaîtras, peut-être, peut-être que ça va te secouer. Tu m'écoutes d'une oreille, tu t'écoutes de l'autre.

Speaker 1:

Il y a quelques mois, on a perdu quelqu'un d'important dans notre famille Et, en fait, au funérail, il y avait tout un tas de gens qui ont fait des discours, et les discours étaient toujours les mêmes. Finalement, c'était de se dire qu'il était mort jeune et que, du coup, il n'avait pas eu le temps de faire plein de choses qu'il aurait aimé faire dans sa vie. Et donc, moi, j'ai été touchée par ça, en me disant mais jamais je voudrais qu'à mes funérailles on me dise ça. Et pourtant, c'est quelqu'un qui est mort et qui avait quasiment 30 ans de plus que moi. Donc on va dire qu'il y avait eu du temps pour les faire. Mais c'était une personne qui avait remis à plus tard.

Speaker 1:

Et donc, je me suis dit est ce qu'il resterait encore des choses que moi, je remets à plus tard, sachant que moi, je vis une vie sans compromis, que ce soit dans le perso, dans le pro, que j'ai décidé d'avoir un business qui marche super bien, qui me rapporte très largement de quoi vivre depuis douze ans, maintenant qu'on fait l'instruction en famille, que j'ai la chance de vivre dans des endroits sublimes en France et en Espagne. Aujourd'hui, que j'ai plusieurs propriétés, que voilà, enfin, je veux dire, j'ai l'impression d'avoir fait ma part, quoi? Et en même temps, je me suis dit est-ce qu'il ne resterait pas un petit truc caché derrière le placard là? Et donc, je me suis aperçue qu'il y avait un rêve, quelque chose que j'avais mis de côté. C'est que je m'étais dit c'est quand même super classe, les gens qui s'arrêtent de travailler très jeunes. Ah, ouais, alors ça, ça m'a toujours fait rêver.

Speaker 1:

Et donc, je me suis dit, en fait, de quoi je rêvais. Je rêvais de m'arrêter de travailler avant 40 ans, sauf que quand je réalise ça, j'ai 39 ans, il ne reste pas beaucoup de temps, attention. Et donc, je me dis ok, qu'est-ce qu'il te faudrait faire pour t'arrêter de travailler? clairement, il me faut un revenu suffisamment important pour pouvoir m'arrêter de travailler. Mais j'ai pas le revenu. La rente, j'ai pas créé suffisamment. J'ai fait une part, mais il me manque une partie.

Speaker 1:

Et donc, je me suis dit ok, ça dépend, il te faudrait travailler plus pour pouvoir générer un revenu qui te permette ensuite de t'arrêter de travailler. Et moi, je déteste les choses qui ne dépendent pas que de moi. Et donc, je me suis dit et si je pouvais décider de m'arrêter de travailler, sans prendre en compte tout ce qui est à l'extérieur de moi, sans faire dépendre mon choix de quelque chose d'extérieur à moi? Parce que, finalement, la notion de travailler ou de s'arrêter de travailler, certes, ça dépend d'un revenu, mais ça dépend aussi d'un état d'esprit. Je me suis dit est-ce que, puisqu'on sait, toi et moi, que la liberté, ça dépend de toi, en tout cas dans nos pays, la sécurité, on l'a à l'intérieur de nous, ça dépend de toi aussi? Donc, il y a tout un tas de choses qui, de toute façon, si ce n'est pas tout, nous appartiennent. Donc, j'ai fait le choix, je vais avancer, je vais faire avance rapide. J'ai fait le choix de m'arrêter de travailler.

Speaker 1:

On est le 24 avril 2024, je ne m'aperçois même pas du 24, 04-24 quand je prends la décision. Et je prends la décision de m'arrêter de travailler. Puisque c'est l'un de mes plus grands rêves, Je décide de le réaliser immédiatement. J'arrête donc de travailler en 2024. Et là, mon cerveau se met à bugger.

Speaker 1:

Je suis le seul revenu familial. Voilà, mon mari ne travaille pas. On a choisi l'instruction en famille Et il ne travaille pas à ce moment-là, parce que mon revenu d'entreprise me permet largement de couvrir les frais familiaux. Et donc, je me retrouve entre guillemets chef de famille au niveau financier et je décide de m'arrêter de travailler. Très bien, soit. Et là, mon cerveau ne panique pas du tout, parce que je sais que c'est vrai Au fond de moi, je sais que c'est juste une décision évidente.

Speaker 1:

Donc, il n'y a pas de panique. Ça, c'est important dans le contexte. Il n'y a pas de panique quand je prends cette décision, mais il y a mon mental qui se met à se demander qu'est-ce qu'on fout là Et, du coup, qu'est-ce que ça veut dire, et il commence à paralyser mes décisions. C'est-à-dire, je me lève le matin. Du coup, quand on ne travaille pas, qu'est-ce qu'on fait? Alors, moi, le matin, je ne travaille pas parce qu'on fait l'instruction.

Speaker 1:

Donc, du coup, ce n'est pas le matin, mais tu vois, c'est un symbole. Donc, moi, je travaille plutôt le soir, mais j'arriveise ma vie quand je ne travaille plus. Et donc là, mon cerveau s'est mis à se paralyser sur tout un tas de choses du quotidien. Et donc, je vais te partager les trois étapes hyper concrètes, et tu vas voir que je partage toujours mes partages. Comme ça, je prends le thème, on élève la conversation et ensuite, on le ramène dans quelque chose de très concret, parce que, réellement, on ne vit pas en théorie, on vit en pratique, et donc, on a besoin de solutions pratico-pratiques qu'on met en place tous les jours.

Speaker 1:

Donc, là, je vais te partager les clés concrètes de comment j'ai fait Et tu pourras choisir de les mettre en place, à toi. Si je te partage tout ça, c'est pas, je suis pas le netflix de l'intuition. Je veux que tu t'en essayes au moins, mais quand je te dis quand tu essaies, tu essayes à partir d'aujourd'hui, tu commences, pas demain, parce que sinon, en fait, tu commences jamais, on est d'accord. Donc, la clé numéro, la clé numéro une que je me suis notée pour toi, c'est en fait de me dire, dès que mon cerveau a commencé à se paralyser, c'est de le remercier. Alors attends, je vais m'approcher pour te dire ça. C'est de le remercier Parce qu'en fait, il y a beaucoup de choses qui se disent sur le mental, mais ton mental, il est là pour te tenir en sécurité Et donc, c'est hyper important de remercier ton mental pour tout ce qu'il a fait pour toi jusqu'à aujourd'hui. Donc, moi, la clé numéro une que je te partage sur ce thème, c'est de prendre le temps de te remercier. Donc, très concrètement, moi, je disais merci beaucoup de me faire apparaître cette peur ou cette réflexion, parce que c'est grâce à toi que j'en suis là.

Speaker 1:

Alors, moi, je décide de m'arrêter de travailler. C'est bien, mais pendant 39 ans, il m'a permis d'être en bonne santé, il m'a permis d'avoir un revenu régulier. Il m'a permis d'avoir un revenu régulier, il m'a permis d'avoir un business à 6 chiffres depuis les 4 dernières années, il me permet d'avoir des clients fabuleux, de faire l'instruction en famille, de travailler où je veux, de travailler quand je veux, d'être moi-même en bonne santé, mais ma famille aussi, de vivre dans un lieu qui, pour moi, est le symbole de ma réussite, avec des fleurs, avec des arbres, avec un verger, avec une piscine, une maison. Je vis en couple. Merci quoi? Et c'est important de prendre ce temps-là de dire merci de m'avoir amenée jusque-là.

Speaker 1:

La suite de la phrase, elle est importante, c'est Et aujourd'hui, voici ce que je décide de croire». Et c'est la fin de la phrase que tu vas devoir construire, toi. Je vais te raconter mon histoire, je vais te raconter la fin de la phrase que moi, j'avais décidée, mais je veux surtout que tu construises la tienne. Donc, moi, la fin de la phrase que j'avais décidée, c'était Merci beaucoup de me faire intervenir cette peur. J'avais des phrases qui venaient dans ma tête, hyper malveillantes, de type Laetitia, tu veux t'arrêter de travailler?

Speaker 1:

Oui, c'est bien, pour prendre des décisions comme ça, il y a du monde. Mais en même temps, quand tu vas faire des courses, tu vas payer comment? Ou bien, ah, bah, oui, ça c'est bien, laetitia. Alors, toi, tu décides de t'arrêter de travailler, mais alors, pour dépenser de l'argent, pas de problème. Pour en gagner, ça va être un peu plus compliqué.

Speaker 1:

Tu vois, si tu t'arrêtes de travailler, parce que, bon, quand on s'arrête de travailler, on ne gagne plus d'argent, tu vois, bon, et donc, c'était tout un tas de discours franchement malveillants, pas sympa, jugeant. Si ça avait été une autre personne que moi-même, je ne sais pas très bien si j'aurais accepté un tel niveau de discours, c'est sûr que je ne l'aurais pas accepté d'ailleurs. Donc, c'est de dire merci beaucoup, parce qu'en fait, c'est tout ce système de pensée, de croyance, de filtre, de vision de la vie, etc. Qui m'a permis d'être là quand même, et avec une super réussite. Donc, merci beaucoup, merci de me faire voir ça, parce que c'est grâce à toi que j'en suis là aujourd'hui. Et en même temps, aujourd'hui, je décide de croire que je suis largement rémunérée pour faire uniquement ce que j'aime, pour faire uniquement ce que j'aime, et pour faire uniquement ce que j'aime, pour faire uniquement ce que j'aime.

Speaker 1:

Voilà, et à partir du moment où je prends cette décision et que je dis cette phrase, ça me demande de la répéter des milliers de fois Les premiers jours. C'est toutes les secondes, toutes les secondes, littéralement, pas manière de parler. Je le répète souventest toutes les secondes, toutes les secondes. Littéralement, pas manière de parler, je le répète souvent, toutes les secondes. Non, non, non, non, non, non, non, non, non, toutes les secondes. Je suis nulle en maître, il y a vachement de secondes, mais je peux te dire que tu te le répètes des milliers de fois. Alors, il y a des moments où tu te connectes à autre chose, où tu fais autre chose et du coup, les peurs ne sont pas là. Mais la plupart de temps du temps, dans les premiers jours, les peurs sont là et ça te demande de répéter ta phrase toutes les secondes, et puis, avec le temps, ça va être toutes les minutes, puis après toutes les dix minutes, puis après toutes les heures, et puis après tous les jours. On va dire que ça m'a pris entre quatre et cinq semaines.

Speaker 1:

Donc, la première clé, c'est cette phrase qui permet de remercier et de voir le chemin parcouru, parce qu'il y a plein de gens qui disent oui, le mental, ça c'est mon mental, qui me dit ça comme si c'était le dernier des, mais pas du tout. Le mental, c'est lui qui te tient en sécurité. Donc, s'il te plaît, quoi? c'est quand même le truc le plus important de notre vie. Donc, c'est quand même le truc le plus important de notre vie. Donc, c'est bien remercier et, en même temps, lui donner le chemin à parcourir. Dans quelle direction on est en train d'aller, parce que notre mental, dans sa façon de fonctionner, si tu n'as pas fait de formation autour de tout ça. Tu peux aller voir toutes les ressources sont gratuites aujourd'hui, mais moi, j'ai fait à une époque où toutes les ressources n'étaient pas gratuites. Donc, je me suis formée sur tout ça Et notre mental est là pour apporter des éléments à l'extérieur de nous qui confirment que nous avons raison.

Speaker 1:

Et comme la réalité n'existe pas, puisque la réalité, tu te la forges toi-même, avec ton expérience, ton éducation, tes croyances, ton pays, ta langue, ton ethnie, tout ça, du coup, il n'y a pas de réalité. La réalité n'existe pas. Donc, la réalité, c'est ce que tu te crées, vu que, de toute façon, on s'invente tout autant s'inventer un truc qui, en ce moment, nous nourrit, nous nourrit à un truc qui va dans la direction dans laquelle on se sent utile, bon, talentueux, performant, agréable, satisfait, en paix, en réussite, en succès. Tu mets le mot que tu veux Et donc, moi, je décide que je vais être rémunérée, mais je ne dis pas je vais, je suis déjà. Cette phrase, elle dit je suis rémunérée pour faire ce que j'aime faire, pour faire uniquement ce que j'aime faire.

Speaker 1:

Donc, cette réalité, c'est la nouvelle réalité que je crois. Par contre, au tout début, je n'ai rien qui me prouve ça, parce que mon mental, il est encore connecté à la croyance d'avant, qui est que pour gagner de l'argent, il faut travailler, et puis, en plus, il faut travailler quand même dur, puis il faut être performant quand même. C'est quand même ce que je crois, et à ce moment-là, j'ai besoin de lui donner une autre direction. Donc, je donne une autre direction, un peu comme un chef d'entreprise ferait avec son équipe. Ok, voilà, ça, c'est de preuve. C'est pour ça qu'il y a besoin de le répéter toutes les secondes, jusqu'à ce que notre mental fasse des connexions neuronales nouvelles. Donc, si tu n'as jamais vu les chemins neuronaux, tu vas sur YouTube, tu cherches. Il y a plein de vidéos excellentes qui sont faites et qui nous montrent comment les neurones s'y prennent pour se déconnecter d'un chemin neuronal et en créer un nouveau.

Speaker 1:

C'est hyper beau, ça fait des particules comme ça qui bougent, et c'est physique, c'est physiologique, c'est-à-dire qu'elles prennent un nouveau chemin. Et donc, ça, au niveau de la physiologie, ça prend un peu de temps. Et notre mental, pendant ce temps, il est en train d'analyser, par ce que tu vois, par ce que tu ressens, par ce que tu sens par ta peau, par ce que tu entends, etc. Des preuves, parce que lui, son but, c'est de te dire que tu as raison. Mais si tu ne lui dis pas ce en quoi il faut qu'il croit, il croit à ce que tu as toujours cru jusque-là.

Speaker 1:

Donc, cette phrase, ce n'est pas je vais bien, tout va bien, tout est gai, tout me plaît. On n'est pas dans la méthode Coué. L'idée, c'est quoi? C'est que, comme la réalité n'existe pas, que tu choisisses consciemment ce que tu choisis de croire aujourd'hui, alors, parfois, évidemment, selon notre parcours, il y a des traumas, il y a des choses qui font que ce n'est pas possible.

Speaker 1:

Là, il faut se faire accompagner, il faut avoir un médecin, un spécialiste, quelqu'un qui tu crois, avec des techniques dans lesquelles tu crois, pour dépasser ça. Peut-être, moi, ça, je n'avais pas du tout besoin de ça, moi, ce n'était pas utile, j'avais décidé que ce n'était pas utile. Alors, peut-être qu'avec quelqu'un, ça aurait été plus rap, une nouvelle direction qui serait plus gaie, plus agréable, plus satisfaisante pour toi. Et ça, ça va te demander de la répéter, pour réindiquer à ton mental le chemin que tu veux qu'il prenne, pour que, lui, il l'analyse en permanence, tout ce qu'il y a autour de toi, pour donner raison à cette nouvelle croyance. Et ça, ça va prendre plus ou moins de temps. Moi, j'ai calculé que ça avait pris entre 4 et 5 semaines à peu près. Donc, tu vois, dans une vie, c'est pas énorme, voilà, et au début, je l'ai répété toutes les secondes.

Speaker 1:

Puis après, je l'ai répété, pas pour le répéter comme un mantra, mais chaque fois que mon esprit me ramenait à une peur, à Non, mais il te faut travailler. Mais quand même, si tu ne fais pas ça, et si tu ne postes pas, et si tu ne fais pas un live, et si tu ne fais pas une vidéo, et si tu ne prends pas de nouveaux clients, et si tu ne lances pas quelque chose, et si tu n'envoeur, donc si moi je ne fais pas le boulot, qui sait qui va le faire? Et donc, ça a nécessité d'arrêter de faire énormément de choses, énormément de choses, De choses que je faisais parce que je pensais que c'était nécessaire. Mais du coup, quand tu es, dans ce moment-là, en train de redonner une direction, il faut aussi que ça se transmette par des actions concrètes, parce que si toi tu répètes je vais bien, tout va bien, mais qu'en fait tu fais tout le contraire, ok, ça ne va jamais marcher.

Speaker 1:

L'idée, c'est de te dire ok, non seulement je donne un nouveau chemin, on va imaginer que c'est vraiment comme une équipe, une équipe de sport par exemple. On dit ok, notre direction, c'est de nous améliorer sur tel sujet. Ok, jusque là, on n'était pas bon sur ce sujet. On décide que maintenant, on va devenir bon, mais il va falloir s'entraîner. Donc, il va falloir faire un entraînement qui aille dans cette direction. Donc, si la direction c'est, par exemple, d'avoir une meilleure musculature, il va falloir faire plus de musculature, plus de musculation, plus d'exercice.

Speaker 1:

Si la nouvelle direction, c'est d'être meilleur en stratégie, ce n'est pas qu'on va délaisser la musculation, mais peut-être, du coup, ça va demander des actions de ta part qui vont être inconfortables, demander des actions de ta part qui vont être inconfortables. Donc, il y a un moment donné où tu vas te demander si tu fais bien. Mais là, l'idée de cette vidéo, c'est pas comment faire pour être une bonne élève ou comment faire pour être un bon élève. L'idée, c'est de dire comment sortir de la paralysie mentale et cérébrale. Et pour sortir de la paralysie mentale et cérébrale, la première chose à faire, c'est de donner une direction. C'est comme si tu avais une équipe dans ta tête et que les mecs, chacun faisait ce qu'il voulait. C'est le bordel.

Speaker 1:

Donc, toi, tu es le boss, t'es le manager. Tu dis ok, là, on va par là, et t'en as un qui est un peu réfractaire à la nouvelle direction d'entreprise et qui traîne un peu la patte, tu vois. Et donc, lui, il va falloir que, hop, tu le cadres, tu le cadres, pour qu'il finisse par y croire, se dire ah, ouais, c'est pas con. En fait, cette direction, ça vaut la peine. Ce qu'ils préféraient, c'était faire tout ce qu'on avait fait jusque-là.

Speaker 1:

Ok, donc, imagine-toi vraiment que tu as une équipe et que c'est toi le boss et que tu dois donner la direction, et ça va te demander de le répéter, de le répéter au début jusqu'à ce que, tout d'un coup, waouh, ça fasse sens. Donc, ça, c'est la première clé. Et si je te raconte ça, ce n'est pas Pas du tout, je m'en fous que tu m'admires. La seule admiration dont j'ai besoin, c'est la mienne. Et toi aussi, si je te partage ça, c'est pour que tu le mettes en place, parce que, franchement, quatre semaines dans la vie, et puis, s'il faut, toi, tu seras bien meilleur que moi et tu le feras en deux semaines, et s'il faut, tu seras moins bon que moi et tu mettra six semaines dans toute une vie pour changer toute sa vie. C'est quoi? Et c'est même pas difficile. Non, c'est juste que ça demande d'être là. Quoi? Voilà, ça demande de se parler dans sa tête. Mais ça, on le fait tous.

Speaker 1:

La clé numéro deux? La clé numéro deux, elle est Elle est plus fine, elle est plus rapide, elle est parfois très, très, très chirurgicale. Je vais m'approcher de toi. La clé numéro 2, c'est que tu te fais croire que tu es dans ta paralysie mentale et intellectuelle, alors que tu ne l'es pas. C'est d'imaginer, c'est de revenir à toi et de te poser cette simple question Qu'est-ce que je ferais si je savais? Alors, peut-être que tu vas me dire Laetitia, tu es bien gentille, mais je ne t'écoute pas depuis dix minutes pour que tu me dises ça.

Speaker 1:

Mais écoute bien cette question, parce que moi, je crois que tu sais parfaitement, mais que tu as peur de savoir. Parce que, vu ce que tu sais, ça va demander des actions, ça va demander un peu de te mouiller, ça va demander d'avoir peut-être des conversations un petit peu inconfortables, ça va peut-être te demander des gros changements de fond. Et le problème, ce n'est pas que tu ne sais pas, le problème, ce n'est pas que tu sois paralysé, le problème, c'est que tu sais parfaitement, mais que tu ne sais peut-être pas par où commencer. Mais alors, ça, c'est une toute autre conversation. Et donc, cette honnêteté radicale envers toi-même de te dire je sais parfaitement, mais j'ai peur. Je sais parfaitement, mais je ne sais pas par quoi commencer. Je sais parfaitement, mais j'ai peur de le dire. Je sais parfaitement, mais j'ai peur d'en parler avec cette personne-là, j'ai peur de l'exprimer. Mais là, je ferai un live sur ça, tu me feras un hashtag expression et je t'enverrai le live que j'enregistrerai à ce propos.

Speaker 1:

Souvent moi, j'ai, dans ce même thème, beaucoup de clients que j'appelle mes amis, qui me disent comme moi, j'ai, dans ce même thème, beaucoup de clients que j'appelle mes amis qui me disent comme moi, j'ai un background de marketing des 20 dernières années. Souvent mes clients, ils me prennent pour celle qui sait. Et donc, ils me posent cette question. Ils me disent oui, mais toi qui sais, tu peux peut-être savoir toi, tu peux peut-être savoir toi.

Speaker 1:

Et donc, je leur pose cette question si tu avais toutes les connaissances, si tu avais toutes les compétences, qu'est-ce que tu choisirais? Si tu savais tout ce que tu penses important de savoir pour prendre cette décision-là, qu'est-ce que tu choisirais? Et, très souvent, tu sais quoi.

Speaker 1:

Ils ne me demandent plus jamais mon avis sur je ne sais plus quoi, parce qu'est ce que tu choisirais. Et très souvent, tu sais quoi, il me demande plus jamais mon avis sur je sais plus quoi, parce qu'en fait, ils ont déjà décidé, parce qu'en fait, tu sais très bien, tu sais très bien, et si je te raconte ça, c'est vraiment pour que tu assumes de savoir. Moi, je peux t'aider pour mettre en place. Tu vois, je peux t'aider pour assumer, je peux t'aider pour oser. Mais ne nous cachons définitivement pas derrière le discours de Non, mais là, je suis dans le brouillard mental, dans la paralysie mentale.

Speaker 1:

Souvent, on est dans le brouillard et dans la paralysie mentale parce qu'on se raconte qu'on ne sait pas par où commencer, alors qu'en fait, c'est juste qu'on a tellement de choix qu'il faut commencer par quelque chose, et ça, c'est la clé numéro 3. La clé numéro 3, on va imaginer que tu as une énorme remplie de spaghettis, complètement mélangés, tu sais, et puis qui débordent un peu parce que l'assiette est trop pleine. Et là, tu te dis Oh, et par où je commence quoi? Là, ça dégouline, il y a un peu de sauce tomate. C'est vraiment pas agréable. Et en fait, tu peux te dire Ah, ben là, je ne sais même pas par où commencer et tu ne commences pas. Donc là, si on fait un diagramme avec, d'un côté, l'action et de l'autre côté, la charge mentale, le plus longtemps tu vas mettre à passer à l'action, le plus longtemps ton diagramme de charge mentale va augmenter. Voilà, il va augmenter, augmenter, augmenter au point de te prendre plein d'énergie.

Speaker 1:

Mais pendant ce temps, l'action, t'as vu, elle est toujours pas faite. Moi, je fais de la thérapie par l'action. Très souvent, on fait l'action tout de suite. Du coup, l'action est faite et on n'a pas de charge mentale.

Speaker 1:

Parce que plus on augmente la charge mentale, souvent, plus on diminue l'estime de soi, alors que l'action, elle, prend généralement beaucoup moins de temps et beaucoup moins d'énergie que tout le temps qu'on passe à la remettre à plus tard. Ce n'est pas de la procrastination, parce que je ne crois pas que la procrastination existe, c'est juste la charge mentale qui augmente, l'estime de soi qui diminue. L'action n'est toujours pas faite. Quand on fait l'action tout de suite, même si elle est nulle, même si on l'a fait mal, même si on se rate complètement, on apprendra beaucoup plus que si on augmente notre charge mentale. Parce que pendant qu'on augmente notre charge mentale, on apprend qu'une seule chose, c'est qu'on peut pas se faire confiance. Et ça, c'est le pire, parce que la seule chose dont on a besoin pour vivre notre vie, c'est d'avoir confiance en nous. C'est la la seule chose, la seule stabilité sur laquelle on repose, c'est la confiance en nous d'arriver à faire ce qu'on veut faire, d'arriver à vivre ce qu'on veut vivre. Donc, la troisième clé, je vais la diviser en petits bouts.

Speaker 1:

Ça peut être ok, tu as ton grand plat et puis tu vas le diviser en petits bouts. Donc déjà, par exemple, tu vas le diviser en petits bouts Déjà, par exemple, tu vas regarder qu'est-ce qui est de ta responsabilité à toi, qu'est-ce que tu peux décider sans dépendre des autres parmi tout ça. Voilà, sans discours, sans narratif, évidemment. Ok, ça, c'est de ma responsabilité. Ensuite, tu vas prendre un autre truc Qu'est-ce qui est de la responsabilité de mes enfants, de mon chien, de mon perroquet? Tu vas diviser les plats. Chacun, déjà, va bouffer sa part.

Speaker 1:

Et après, il y a peut-être des décisions qui nécessitent plusieurs personnes Ton mari, ta femme, tes enfants, ton voisin, tes frères et soeurs, tes parents, et donc, là, il va s'agir d'avoir les discussions nécessaires pour prendre les décisions qui ne vont pas dépendre de toi, donc qui vont peut-être durer un peu plus longtemps, mais déjà, t'as vu, t'as fait du chemin. Autre chose, si tu ne veux pas diviser, c'est de commencer à manger. Alors, c'est très terre-à-terre, mais c'est de commencer à y aller. Donc, t'as ton grand plat qui déborde, tu ne sais pas par où commencer, mais commence, fais un commencer. Commence, fais un truc, parce que quand tu vas prendre ton truc de spaghettis, ça va faire de la place, ça va délier d'autres spaghettis Et tu vas apprendre quelque chose d'important pour continuer à manger ton plat Commence, commence, même si c'est pas parfait, même si ça fait pas sens, même si c'est pas nickel, même si tu sais pas trop bien à quoi ça mène, même si Et tu sais quoi, et si tu sais pas trop bien à quoi ça mène le lendemain, continue, continue Chaque fois un tout petit peu Et tu verras que, au bout d'un moment, tu vas avoir le puzzle.

Speaker 1:

Et ça, qu'est-ce qui se joue quand on fait ça? C'est qu'on se fait croire qu'on n'est pas capable de prendre une décision dans un environnement où on n'a pas toutes les informations pour se décider. Et ça, j'ai un méga scoop pour toi, c'est que ça s'appelle la vie. On n'a jamais toutes les informations pour se décider, jamais. On ne les aura jamais. Et du coup, on peut se tromper, et c'est ok de se tromper, c'est ok de faire des erreurs, ça s'appelle la vie. Et en plus, quand on se trompe, on a vachement de choses à raconter.

Speaker 1:

Nos enfants, si tu as des enfants, ils adorent quand on leur raconte les erreurs qu'on a faites, so qu'on a faites, soit parce que ça va les faire rire, soit parce qu'ils vont pouvoir nous étreindre, soit parce qu'ils vont pouvoir apprendre. Alors, si tu n'as pas d'enfants, c'est ton partenaire, ta partenaire, les gens autour de toi, tes collègues, ton mari, tes enfants, les enfants des autres, je ne sais pas qui. Les gens qui t'entourent Quand je dis les enfants, ce n'est pas forcément les tiens, ceux qui sont là, que tu as enfanté toi-même, c'est les gens autour. Et ça, cette thérapie par l'action, elle, est importante. Je vais te raconter une histoire. Toujours, toujours, tu t'écoutes à toi et tu m'écoutes à moi d'une autre oreille, mais tu t'écoutes surtout à toi.

Speaker 1:

La dernière fois, j'ai fait un live, comme ça. Il était mal éclairé, c'était la nuit. La nuit est tombée, la thématique n'était pas très clair. J'avais pas préparé, parce que c'était du live, et j'ai trouvé nul, nul. Il se trouvait nul, nul.

Speaker 1:

Par contre, ce jour là, j'avais senti l'élan de faire un live, mais je ne savais pas ce que j'allais raconter. Mais le plus important, ce n'était pas d'augmenter ma charge mentale en me disant oh là, là, qu'est-ce que je vais dire, mais qu'est-ce que je vais pouvoir dire? Et la fin de la journée arrive et je ne l'ai pas fait. Là, non, bah, écoute.

Speaker 1:

L'action dont j'ai ressenti l'élan, c'est de faire un live. Je sais pas ce que je vais faire, je sais pas qu'est-ce que je vais pouvoir dire, qu'est-ce que je vais Hop, je le fais. Charge mentale pouf, zéro, action grande. Je finis le live et je suis pas contente de moi, je suis pas contente de l'impact. D'ailleurs, si tu veux regarder, j'ai expliqué ce qui s'est joué et ce que j'ai appris. Tu me fais un hashtag.

Speaker 1:

Le live que j'ai détesté faire et que mon audience a adoré Et, en fait, une fois que j'ai lu Terminé, de toute façon, il était en ligne J'ai eu des dizaines de messages de gens que ça a énormément aidé et que ça a beaucoup impacté, sauf que quand moi j'impacte une personne, j'impacte tous les gens qui sont autour de cette personne. Donc, qui je suis, moi, pour avoir un maigre jugement en plus, très malveillant envers moi-même, pour dire qu'il n'était pas bien De quoi je me mêle. C'est les autres qui vont décider s'il a été bon ou pas, et moi, je peux faire mon auto-feedback et me dire Ok, la prochaine fois. Voilà ce que je voudrais améliorer, voilà ce que je voudrais changer, voilà ce que j'aimerais donner de manière plus ceci ou moins cela».

Speaker 1:

Et terminé, et c'est bon. On avance Et le lendemain, on y retourne Et j'ai beaucoup plus appris, beaucoup plus appris, beaucoup plus appris en faisant ce live que je n'ai pas aimé Et qui m'a montré que si moi, je n'aimais pas mes propres créations, il y en avait énormément pour qui c'était aidant, plutôt que de ne pas le faire parce que je n'avais pas le sujet, plutôt que de ne pas le faire parce qu'il faisait nuit, plutôt que de ne pas le faire parce que je suis mal fringuée, ou parce que je ne sais pas quoi, Je ne sais pas ce que je pourrais dire, ou parce que je ne l'ai pas préparé. Cette troisième clé, c'est passe à l'action, vas-y, commence par quelque chose Et, en fait, ça va faire du coup de la place dans ton assiette Et plus apprendre que de ne pas le faire. Voilà, ça, c'était la troisième clé. Alors, j'ai noté d'autres choses.

Speaker 1:

Tout ça, c'est ce que j'appelle un point de départ. Si ça t'appelle, moi, j'ai créé un endroit qui s'appelle les affranchis. C'est ma liste privée, en fait, dans laquelle tout se passe pour de vrai et, une fois par semaine, je donne comme ça une perspective nouvelle qui te permet de te reconnecter à qui tu es vraiment, à tes choix véritables. Voilà, dans les affranchis aujourd'hui, au moment où j'enregistre cette vidéo, il y a plus de 800 personnes qui ont rejoint, et je serais ravie que tu nous rejoignes aussi, et c'est à ma liste que j' Il y a plus de 800 personnes qui ont rejoint Et je serais ravie que tu nous rejoignes aussi.

Speaker 1:

Et c'est à ma liste que j'envoie à peu près une fois par mois, la possibilité de travailler directement avec moi sur ton sujet à toi. Et il n'y a que qui sont au courant. Donc, je mettrai le lien en dessous de la vidéo et tu pourras t'y inscrire et nous rejoindre. Et surtout, ce dont j'ai besoin, c'est que tu partages cette vidéo avec quelqu'un auprès de qui tu sais que ce sera important, auprès de qui tu sais que ça va changer sa vie, auprès de qui il y aura peut-être trois minutes qui vont lui permettre un coin de ciel bleu. Alors, tu sais, moi je viens comme ça, en petite tenue, je ne sais pas comment je me suis coiffée, je ne me suis pas regardée.

Speaker 1:

Je suis là dans mon jardin, en toute simplicité, et j'espère vraiment que ça te montre à quel point notre message est plus important que l'enveloppe que nous avons. J'espère que le fait de venir comme ça, à moitié pieds nus, dans mon jardin, qui n'est pas tendu, te montrera qu'il n'y a pas d'excuses pour ne pas faire passer notre message. Et ça, je l'ai su en prenant ma place Et en arrêtant de me faire croire que je ne savais pas, parce qu'en vrai, je sais très bien. Je sais très bien, mais souvent, j'ai peur, et toi aussi, et toi aussi, et c'est ok, c'est ok, c'est ok d'avoir peur. Donc, en conclusion, merci d'avoir été là.

Speaker 1:

Rappelle-toi que moi, je ne suis pas là pour t'apprendre quoi faire. Je suis là pour te rappeler qui tu es et ce que tu sais déjà, mais qui est sous des couches et des couches de poussière de vieux tapis, pour te rappeler qui tu es et ce que tu sais déjà, mais qui est sous des couches et des couches de poussière de vieux tapis et de tapisserie dégueulasse. Si ce message t'a impacté, mets-moi en dessous de cette vidéo un message avec écrit impact. Et quand tu vas mettre en œuvre une de ces clés, ne serait-ce qu'une seule. J'aimerais que tu reviennes et que tu me dises le nombre de personnes que ça a impacté autour de toi, parce que on peut changer le monde une personne par une personne. C'est ce que je fais depuis les douze dernières années. Ce que j'ai envie là, c'est d'aller beaucoup plus grand et d'être utile pour cent mille personnes dans les prochains mois. Je compte sur toi pour le mettre à profit de ta vie, de la vie de quelqu'un d'autre. Merci, beaucoup, merci.