LES AFFRANCHIS

Le jour où j'ai détesté mon propre live mais où mon public l'a adoré

Laetitia MARTOS Season 4 Episode 7

Cette conversation intime aborde un sujet universel qui nous touche tous : la façon dont nous nous parlons et nous jugeons après avoir pris un risque. Laetitia partage avec une honnêteté désarmante comment elle s'est sentie "nulle" après avoir animé un live d'un nouveau format, où elle a simplement partagé sa vie au lieu de donner un enseignement structuré.

Le paradoxe qu'elle révèle est saisissant : alors qu'elle se jugeait sévèrement, son audience lui envoyait des messages de remerciement, trouvant ce format authentique particulièrement utile et inspirant. Cette contradiction met en lumière combien notre dialogue intérieur peut être déconnecté de la réalité et de l'impact que nous avons sur les autres.

À travers cette expérience personnelle, Laetitia nous offre des clés précieuses pour cultiver la bienveillance envers nous-mêmes. Elle nous invite à agir immédiatement sur nos idées plutôt que de les reporter (et d'augmenter notre charge mentale), à être conscients de notre discours intérieur destructeur, et à nous parler avec la même douceur que nous offririons à un être cher. La métaphore du pommier qui continue à produire des fruits malgré les imperfections nous rappelle l'importance de persévérer sans se juger.

Cette conversation résonne profondément avec tous ceux qui hésitent à se lancer dans un projet par peur de l'échec ou qui se battent contre un perfectionnisme paralysant. Prenez un moment pour réfléchir à votre propre dialogue intérieur et demandez-vous : parleriez-vous ainsi à quelqu'un que vous aimez ? Si ce message résonne avec vous, n'hésitez pas à le partager avec ceux qui pourraient en avoir besoin.

Si toi aussi, tu veux m'écrire une lettre manuscrite clique ici et envoie le mot "LETTRE""

Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.

Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.

Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.

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Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.

Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.

Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :

🌸 Élever ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition

🌸 T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs

🌸 Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.

Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.

Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.

Retrouve moi dans des espaces intimes et puissants d'accompagnement, c'est mon métier depuis 12 ans sur www.laetitiamartos.com

Speaker 1:

Bonsoir, bienvenue. Je vous souhaite la bienvenue pour aujourd'hui. J'ai énormément de choses à vous partager et j'espère du plus profond de mon cœur que ça va vous aider, à savoir que vous êtes capables. Alors, pour te remettre un peu dans le contexte et si c'est la première fois qu'on se connecte ensemble, je m'appelle Laetitia Martos, je suis entrepreneur depuis 12 ans, je suis aussi maman et je suis entrepreneur à plein de temps depuis toujours, très largement rémunérée pour ça depuis le début, et c'était vraiment quelque chose de capital pour moi, ça. Et donc, je ne suis pas là depuis hier. Quoi, tu vois? je ne suis pas l'influenceuse du dimanche qui a commencé hier matin pour gagner trois sous sur les réseaux sociaux. Voilà, on va dire les choses clairement. Et moi, ce que les gens que je sers, c'est des esprits brillants, des intellectuels qui sont tellement intellectuels que souvent, ils se cachent derrière toutes ces notions très mentales Et parfois, ils oublient d'écouter la petite voix qu'il y a à l'intérieur. Et parfois, ils ne l'oublient pas, ils l'entendent très bien, mais ils ne savent pas par où commencer à écouter ce truc, parce que ça fait un peu flipper. Voilà, et donc je vais te raconter cette histoire. Hier, j'ai fait un live. Des lives, j'en ai fait énormément, énormément, je ne sais pas combien Des centaines Depuis les quatre dernières années. J'en ai fait des centaines. Hier, j'ai fait un live d'un nouveau type Et, au lieu d'enseigner, au lieu de partager un enseignement, je me suis contentée Les mots ont une importance. Je me suis contentée de partager le déroulé de ma vie Et je me suis sentie à chier nulle. C'est-à-dire qu'une fois que j'ai arrêté le live, je n'ai pas arrêté de me dire Ah, j'espère que ça va les aider, j'espère que ça a été utile, j'espère que les a été utile, j'espère que les gens vont y trouver quelque chose, j'espère que ça va Bref. Putain, je me suis trouvée nulle, mais nulle, et je me suis dit mais c'est pas assez ça. C'est pas comme ça qu'on change le monde. C'est pas comme ça qu'on inspire les gens. C'est pas comme ça qu'on change le monde. C'est pas comme ça qu'on inspire les gens. C'est pas comme ça que les gens, ils vont faire confiance à leur intuition. Et donc, t'as partagé ta vie, laetitia, d'accord. Et donc, en quoi c'est utile ça? Ça sert à quoi de faire ça? Donc, quand j'ai eu fini, il y avait ce narratif de c'est pas assez, t'es pas assez, c'est pas suffisant. C'est ok. Et comme notre mental.

Speaker 1:

Il est là pour trouver toutes les raisons à l'extérieur de nous qui vont nous dire qu'on a raison. Ça a été le live où, quand je l'ai eu terminé le temps que je ferme, en plus, ça s'est fini la nuit que je débarrasse, que machin qui a eu le moins de vues. Et donc, je me suis dit ouais, ben, la preuve, j'avais bien raison de dire que j'étais nulle, parce que même les gens, ils sont d'accord avec ça, puisque ça ne leur a pas pu, ça ne leur a pas été utile. Et puis, le soir arrive, c'est la nuit, on prend nos billets de bateau pour Ibiza, on a une super conversation avec mon chéri. Voilà, trop bien, je vais au lit. Trop bien, je vais au lit.

Speaker 1:

Et ce matin, j'essaye de ne jamais allumer mon téléphone au réveil. Jamais, c'est pas bien. Dans la matinée, j'allume mon téléphone et là, j'avais je ne sais combien de messages de gens, mes clients, des gens que je connais peu, des gens que je ne connais pas, avec des messages hyper géniaux, quoi, me disant merci beaucoup, merci pour la question, ça m'a vachement aidée, merci pour ça. J'adore ce format Purée, ça m'aide beaucoup quand tu fais ça. Ah Bon Merde, ah Bon Merde.

Speaker 1:

Alors, du coup, ça voudrait dire que moi, je me sens nulle, je me suis jugée comme étant nulle Dans ce live d'hier soir. C'était trop nul Et qu'en fait, a priori, ça n'a pas été nul pour tout le monde. Alors, il y a plein de façons d'analyser ça Aujourd'hui. Je vais analyser une façon.

Speaker 1:

Donc, si, véronique, hein, véronique, on va appeler Véronique la chieuse qui vient te pourrir tes lives, tu sais, on en a tous comme ça, des gens qui viennent, ils écoutent ton live, ils se font chier à écouter 30 minutes ton live pour te dire ah oui, mais moi, je ne suis pas de cet avis. Bon bref, donc, véronique, si tu es là, tu peux t'en aller, parce que, de fait, de toute façon, je ne répondrai pas à ton commentaire. Mais il y a plein de façons d'analyser cette situation. Là, dans ce live, je vais analyser une. Véronique, tu as peut-être toutes les autres façons de l'analyser. Aujourd'hui, c'est moi qui ai décidé, vu que c'est moi qui fais ce live, et donc l'analyse que j'en fais, c'est parfois, on fait ça en amont, c'est-à-dire qu'on ne se lance pas de peur de se sentir nous-mêmes nuls Et du coup, dans le doute, on ne fait rien. Et ça, moi, j'ai analysé.

Speaker 1:

Le truc, c'est que quand tu as une idée que tu ne fais pas, que tu ne suis pas un projet, même un petit truc. Tu vois un truc que tu repousses à plus tard, en fait, du coup, la chose, elle n'est pas faite, donc elle reste là. Tu vois, si on avait un graphique, la chose, elle reste là. Par contre, ta charge mentale, elle augmente, mais ton truc, il est toujours pas fait. Mais ta charge mentale, elle augmente parce que tu fais que y penser, mais donc ça sert à rien, alors que si tu le fais, bah, du coup, ta charge mentale elle diminue, elle s'arrête complètement, puisque tu n'as plus besoin de penser à ce que tu vas faire, comment tu vas le faire, pourquoi tu veux le faire, pourquoi tu fais pas, mais par contre, ton action, elle est complètement réalisée et suite à ton ton action, tu vas apprendre dans tous les cas.

Speaker 1:

Donc, hier, par exemple, j'ai fait ce live de cette nouvelle forme où je partage ma vie, au lieu de venir pour enseigner, et dans cette action, j'ai beaucoup plus appris déjà, même si je me suis sentie nulle que si déjà je ne l'avais pas faite. Ok, donc, clé numéro une, messieurs, mesdames, c'est quand on a une idée, on le fait, et on le fait tout de suite. J'ai une cliente qui se reconnaîtra. On appelle ça On ne mange pas réchauffé, on mange tout de suite. Donc, tant que c'est chaud, on le fait, peu importe les circonstances, même si ça ne t'arrange pas de le faire maintenant, tu vas le faire maintenant et tu vas voir qu'en fait, tu t'en seras libéré. Ça va te prendre cinq minutes Et ensuite on fait l'action.

Speaker 1:

Et quand on fait l'action, pour moi c'était un nouveau genre, dans le sens où j'étais là pour partager ma vie et je trouvais ça si simple de partager ça. Et en fait, après, je me suis dit ah non, je suis nulle. Et donc, tout ce discours m'a permis de traverser ce discours, d'écouter ce que je me dis moi-même, d'écouter ce que je ne dirai jamais à quelqu'un d'autre que moi, c'est-à-dire que si il y avait quelqu'un qui parlait comme ça à mon mari, mon enfant machin, je lui mettrais deux claques. Je dirais mais c'est pas possible de parler aussi méchamment à quelqu'un Sauf que là, c'est moi. Possible de parler aussi méchamment à quelqu'un Sauf que là, c'est moi.

Speaker 1:

Donc, clé numéro deux un peu de douceur avec nous-mêmes quand nous traversons ce genre de moment, parce que c'est OK, quoi? C'est OK de se dire ben ouais, j'étais pas au niveau, j'ai pas fait ce que je voulais, j'ai pas. Ouais, j'ai même pas suivi l'intention que j'avais moi-même. Ok, ok, et on écoute ça, un titre, c'est dire c'est quand même pas normal de se parler comme ça, ce n'est pas normal que je me parle comme ça.

Speaker 1:

Je ne mérite pas d'écouter une voix, ni d'entendre une voix qui me parle comme ça. Alors, en plus, quand c'est ma propre voix, là j'ai 100% de la responsabilité. Ça, c'était la seconde clé, la deuxième clé. Et puis, une fois qu'on a dit ça, on a dit ouais, t'es content, et donc, et donc, et donc, là, la suite, c'est qu'est-ce que je vais me faire de ça? Qu'est-ce que je vais me faire? Je me dis ok, j'ai été nulle, je recommence pas.

Speaker 1:

Ou je fais comme les gens qui font de l'équitation et qui disent que quand ils tombent à cheval, le là, c'est de se dire OK, demain je vais y revenir, je vais recommencer. C'est très drôle, parce que, du coup, j'en ai parlé avec une amie qui s'appelle Kelly, et Kelly me disait tu sais, je suis vachement contente de te voir me raconter ça, parce que moi, je suis de l'autre côté Et je sais que dans quelques mois, tu te diras putain, mais j'ai trop bien fait de faire ce premier live, où j'ai commencé à parler de ma vie et où je me suis sentie nulle. Et ça me fait un peu envie de pleurer quand je le dis, parce qu'elle me dit moi, je suis de l'autre côté, donc je n'ai pas tout en émotionnel, mais je sais que dans quelques mais qu'est-ce que j'ai bien fait de le faire, qu'est-ce que j'ai bien fait de le faire? Mais pour l'instant, c'est pas ce que tu te dis, parce que c'est nouveau, parce que c'est la première fois que tu le fais, parce que t'as aucune idée de l'impact et surtout, parce que c'est la première fois que tu le fais vraiment à ta façon. Et là, j'itia good job, t'as bien fait.

Speaker 1:

J'aimerais trop me dire ça, en vrai, mais là, pour l'instant, hier, j'étais pas là Et donc, ce matin, j'ai pris un peu de recul par rapport à ça, et puis, il y a eu tous ces messages, fait de ça. Ok, bon, ben, j'ai pris mon cahier. J'ai un cahier intelligent. Là, C'est des trucs qui sont Voilà, comme ça, ça m'évite d'avoir 250 cahiers, parce que sinon, comme je pars très souvent voyager, que je voyage beaucoup et que je ne prends qu'un sac de cabine, j'avais 4 cahiers, 14 000 stylos et il me restait la place pour un string et une robe.

Speaker 1:

Donc, maintenant, j'ai ça, et du coup, dans mes valises, maintenant, j'ai encore plus de doudous que ce qu'on avait jusque-là. Vous avez vu, j'ai vachement gagné au change. Alors donc, du coup, qu'est-ce que je veux en faire de ça? Et de me dire ok, tu sais quoi, demain je reviendrai en live et je vais recommencer. Je vais recommencer, non pas jusqu'à ce que ce soit confortable.

Speaker 1:

Je ne suis pas là pour que ce soitérêt à passer notre énergie à revenir à nous-mêmes plutôt qu'à sortir de nous-mêmes pour sortir de notre zone de confort. Soit dit en passant, on a déjà assez de boulot à faire à l'intérieur de nous pour arrêter d'aller à l'extérieur de nous et agrandir notre cercle. Je ne crois pas du tout à ça. Donc, prenons notre énergie pour revenir à nous et c'est se dire ok. Mais en fait, qu'est ce que moi, je voulais? et une amie m'a dit du coup, mais c'est marrant, parce qu'en fait, si on prend un peu de recul, tu es payé pour vivre ta vie. Les gens te paye aujourd'hui pour vivre sa vie. Elle m'a dit tu te souviens, il ya deux, trois ans, tu rêvais de ça. Et maintenant c'est là. Ouais, c'est vrai, c'est vrai. Et ça m'a fait penser à un truc, je sais. Ne sais pas si tu connaissais l'artiste qui s'appelait Moby.

Speaker 1:

À l'époque, et dans les années peut-être, je ne sais pas, 90-2000,. Il a sorti un tube qui l'a rendu hyper célèbre Et ce gars, il était très à l'aise en salle, etc. Il y avait beaucoup de journalistes qui lui disaient mais comment vous faites pour être aussi à l'aise? Et lui, il disait, genre, c'est mon 20e album, mais il n'était pas connu du grand public avant cette chanson-là.

Speaker 1:

Et le message que j'essaye de te transmettre là, c'est de te dire, dans ce que moi, j'ai vécu purement hier soir, donc, c'est vraiment du quasi direct. C'est de se dire en fait, rome ne s'est pas construite en un jour et, en fait, l'histoire, elle se bâtit avec plein de pierres. Voilà, quand tu regardes un mur, sur chaque pierre, t'as un peu une petite imperfection. Mais nous, on regarde la maison, on regarde l'édifice, on regarde la globalité Et, en fait, toute réussite. Peu importe la définition que tu donnes de la réussite, mais il faut quand même que tu en aies une pour toi. Elle se construit petit à petit Et de l'extérieur, on regarde toujours les autres en regardant l'édifice Et on est beaucoup plus exigeants avec nous-mêmes, on est beaucoup plus méchants, on se dit des choses qu'on ne dirait à personne d'autre.

Speaker 1:

On se dit des choses qu'on ne dirait à personne d'autre, on se dit des choses qu'on accepterait que personne ne dise à nos enfants. Et ça, c'est vraiment pas ok. C'est vraiment pas ok. Et le message que je veux te transmettre, si je te raconte tout ça, c'est parce que ce pourquoi je suis là, c'est pour montrer toutes les pièces, quoi, toutes les pierres, et que tu puisses regarder l'édifice et les pierres, c'est-à-dire ah, ouais, d'accord.

Speaker 1:

Et donc, si toi aussi, tu fais des pierres comme ça, qui ne sont pas pas super, qui sont un peu dégueux, qui sont un peu fendues, qui sont pas parfaites, qui sont continues, tu vois, ok, on va prendre un exemple de la nature, parce que moi, je pense que, comme on fait partie de la nature, c'est quand même hyper simple de prendre un exemple. Tu vas regarder une fleur, tu vas regarder un arbre, tu vas regarder un fruit, peu importe. Tu prends l'exemple qui te parle Le pommier qui va faire une pomme pourrie, trop petite, trop tordue, tout machin. Il se dit pas ouais, vas-y, fais chier, je vais pas faire d'autres pommes. Ouais, bah, c'est bon, de toute façon, celle-là, elle est pourrie, je vais pas, je m'arrête, allez. La sève, c'est bon.

Speaker 1:

Tu peux te barrer dans les racines, non, non, non, non, en fait, dans le lot, il y aura des pommes qui, selon la définition de ton ethnie, de ton époque, de ta situation, seront parfaites et pour les autres, ne le seront pas. Donc, déjà, ça dépend d'où on se place. Et ainsi, on continue à fabriquer nos pommes, ou nos feuilles, ou nos fleurs, ou nos racines. Tu prends ton exemple à toi. Et ça, c'est vraiment important, parce que je vois beaucoup de gens, beaucoup de gens qui s'arrêtent parce qu'ils ont ressenti une mauvaise émotion, une émotion inconfortable qu'ils ressentent comme négative envers eux-mêmes je suis pas assez jolie, je suis pas assez prête, je suis pas assez prêt, je suis pas assez formée, je suis pas assez prête, je ne suis pas assez prêt, je ne suis pas assez formée, je ne suis pas assez opérationnelle, je ne suis pas assez…. Voilà, ou je suis trop, parfois trop impulsive, trop directe, trop…. En fait, j'aimerais te délivrer ce message que tu es capable de beaucoup plus que ce que tu te juges. Et ce discours-là. Tu vois, je ne suis pas d'accord.

Speaker 1:

Moi, quand mes clients font ça, je leur dis franchement si tu étais quelqu'un d'extérieur qui rentrait dans la pièce, je te demanderais de sortir. Je leur dis ça, comme ça, ils peuvent le dire. Je leur dis ça, c'est pas possible, je suis pas OK. Tu es mon client, tu es ma cliente. Je peux pas accepter que tu te parles comme ça. Parce que tu es mon client, tu es ma cliente et les gens autour de toi, ils te doivent le respect Et la première personne, c'est toi.

Speaker 1:

Et tu vois, ça ne m'empêche pas de le faire, ça ne m'empêche pas de le faire. Et, à la fois, ce que je viens de te partager ici, c'est quand ça m'arrive, c'est comment je me lead au travers de ça, de quoi j'ai besoin de me rappeler avec les étapes que je t'ai dites. Donc, si tu sais qu'il y a quelqu'un autour de toi qui a besoin d'entendre ça, c'est peut-être toi. Dis-le moi. Là, je ne vois aucun commentaire. Mais si c'est toi, dis-le moi. Si c'est quelqu'un d'autre, tag cette personne en dessous.

Speaker 1:

Voilà pour beaucoup de bienveillance par rapport à soi, parce qu'on est nombreux à créer des choses, créer des produits, créer des services, créer des idées, soutenir une famille, soutenir des parents malades, soutenir plein de choses la vie, la maladie, et parfois, on a besoin de se rappeler que le soutien numéro un, c'est nous-mêmes déjà. Et c'est bien se parler, et c'est se dire «êmes, déjà, c'est bien se parler, c'est se dire OK, ok, je me suis dit ça, d'accord, mais ça, ce n'est pas OK, ça, ce n'est pas OK. Tu peux appeler cette partie méchante, tu n'as qu'à lui donner un nom. Tu peux l'appeler Jérémy Désolée, jérémy, t'as bien compris. Et tu dis écoute, jérémy, stop Maintenant le harcèlement, comme ça, c'est pas OK. Donc, merci, mais j'ai compris que je pourrais faire autre chose différemment.

Speaker 1:

Laisse-moi le temps, je vais voir ce que je veux faire de ce que tu m'as dit, et puis, bisous, salut, allez, ciao, jérémy. Et cette partie de toi la mettre à part et remonter en selle. Et donc, si tu as quelqu'un autour de toi qui a besoin d'entendre ça parce que la vie, ce n'est pas un long fleuve tranquille, on essaye de nous faire croire ça sur les réseaux Tu as tout qui est parfait. C'est pour ça, franchement, que je viens là. J'espère que vous voyez bien mes rides, j'espère que vous voyez bien que je ne suis pas parfaite, que j'ai un double menton, que j'ai la serviette sur la tronche parce qu'on est allé se baigner, parce qu'il fait 45 000 degrés, que mon jardin il n'est pas attendu, parfaitement, et que, ok, voilà, et, et, du coup, je peux venir avec mes rides et machin. Je ne suis pas obligée de me botoxer la gueule, de mettre un filtre et de machin. Ce n'est pas ça, la vraie vie. Donc, tag la personne qui a besoin de l'entendre, pour un peu de bienveillance envers nous-mêmes, et quand tu te sens nulle, c'est OK. Tu passes au travers de ces étapes, on souffle, et là, je suis en train d'organiser une expérience qui va durer sept semaines.

Speaker 1:

On commence le 7. Et je partage aussi ce genre de conversation à mes abonnés en priorité. Ça fait un an. Tout ce que je lance, je le lance uniquement auprès de mes abonnés, par mail. C'est trop bien Comme ça. Je suis sûre que les gens qui sont abonnés, c'est ceux qui veulent recevoir de mes nouvelles, je n'importe une personne. Voilà, donc, si ce genre de conversation, ça t'intéresse, si tu as envie qu'on puisse avoir ce genre de conversation, mais plus précisément sur des questions que toi tu te poses, là je lance une expérience. Ça dure sept semaines.

Speaker 1:

On commence le 7. C'est la semaine prochaine. Je réduis totalement les places parce que je ne veux pas qu'il y ait trop de monde. Il reste sept places. Voilà, je l'ai lancé hier, il y a trois places qui ont été prises.

Speaker 1:

Donc, voilà, si tu veux, je te mettrai le lien en dessous Tu peux rejoindre, ce serait trop bien. Par contre, les gens qui ont rejoint, il y a du niveau. Alors, là, on est à un niveau de vérité Et de vouloir s'affranchir des règles par rapport aux gens qui ont rejoint. Grosso modo, ce que je veux te dire, c'est rejoindre. Si tu t'attends à un gros niveau, tu vois, tu vas être entouré de gens qui envoient du lourd. Ces trois personnes-là sont géniales.

Speaker 1:

Donc, si tu te dis Oulà, attends, moi, je ne sais pas, ne rejoins pas. Par contre, si tu, putain, mon intuition, elle me dit d'y aller, mais j'ai trop peur, je flippe. Est-ce que je suis capable? est-ce que je suis qui pour penser ça? je suis quoi? mais attends là, tu rejoins, là, tu rejoins.

Speaker 1:

Tu vas voir, en 7 semaines, mais même avant, en 2 semaines, tu vas voir, on va changer ta vie, ça va être trop bien. Bref, ça s'appelle business as art. Le business, non pas comme de la performance sportive, mais faire le switch et passer de la performance à l'art de vivre. Voilà, donc, je t'attends, moi, je t'attends de l'autre côté, machin truc, il n'y a pas de l'autre côté. Moi, je t'attends de ton côté, à toi. Voilà, allez, je vais mettre les liens en dessous. Dites-moi comment ça vous aide, ces partages, dites-moi comment ça vous aide. Je vous embrasse de tout mon cœur. Je vous montre un peu le coucher de soleil. C'est quoi, cette mise au point Facebook? Bon, le coucher du soleil qui est juste là, ça, ça va trop me manquer. Quand on va partir à Ebitza, il faut absolument qu'on trouve un endroit où on voit le coucher du soleil. C'est obligatoire. Allez, je vous embrasse, salut.