LES AFFRANCHIS
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.
Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.
Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :
- Élever ton entreprise et ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition et de simplicité.
- T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs profondes.
- Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.
Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.
Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.
➡️ Mon métier :
Je m'appelle Laetitia Martos et je suis entrepreneur depuis 2013.
Je crée des espaces doux, confidentiels, intimes et bruts grâce auxquels tu oses et assumes pleinement qui tu es publiquement et rapidement.
Je me lève le matin pour créer des nouveaux chemins sociétaux qui peuvent être imaginés via ton parcours entrepreneurial et qui inspireront d'autres à faire bouger les lignes de nouvelles normes.
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LES AFFRANCHIS
Ces femmes qui ne veulent plus choisir ! Le scandale de l'anti-liberté à l'heure des réseaux sociaux | Laetitia Martos
Ces femmes qui ne veulent plus choisir ! Le scandale de l'anti-liberté à l'heure des réseaux sociaux
La question du choix est au cœur de notre liberté. Pourtant, un discours troublant gagne en popularité sur les réseaux sociaux: celui des personnes "qui ne veulent plus choisir". Cette rhétorique, principalement portée par des femmes, cache un paradoxe fondamental que j'explore dans cet épisode avec passion et conviction.
La liberté s'exprime précisément à travers notre capacité à faire des choix délibérés. Quand nous prétendons "vouloir tout", nous créons une confusion dangereuse. Car choisir ne signifie pas renoncer – c'est plutôt définir avec précision ce qui compte vraiment pour nous. Je partage mon expérience personnelle de femme ayant combiné l'instruction en famille avec un business à six chiffres, un chemin pour lequel je n'avais aucun modèle visible.
Ce qui se cache derrière ce "refus de choisir" est souvent le désir légitime de combiner des éléments que la société présente traditionnellement comme incompatibles. Mais cette démarche relève justement d'un choix radical et courageux, pas d'un refus de choisir. L'innovation véritable vient de notre capacité à créer à partir de rien, sans modèle préexistant, guidés par notre foi dans la possibilité de tracer notre propre chemin.
Cet épisode vous invite à reconsidérer votre rapport au choix, à définir avec précision ce que vous souhaitez combiner dans votre équation personnelle, et à vous y atteler chaque jour en vous rendant totalement indisponible au reste. Car l'art de décider est ce qui permet notre liberté véritable – la liberté de façonner notre vie selon nos propres termes, sans nous conformer aux limitations perçues.
Quels choix conscients faites-vous aujourd'hui pour exp
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Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.
Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.
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Il y a un sujet dont j'aimerais beaucoup parler avec toi aujourd'hui. C'est un sujet qu'on voit beaucoup depuis quelques années je dirais environ 4-5 ans fleurir notamment sur les réseaux sociaux, qui ont un impact fondamental sur la vie qu'on mène tous les jours, sur le fait de ne pas vouloir choisir. Donc, ça se voit beaucoup dans des discours surtout féminins, où on entend je ne veux pas avoir à choisir, je veux tout. Et il y a même tout un tas d'accompagnements qui fleurissent pour des femmes qui ne voudraient plus choisir. Et pour moi, c'est très pernicieux, c'est extrêmement dangereux et j'aimerais vraiment qu'on revienne sur ce sujet aujourd'hui. L'une des façons d'exprimer sa liberté, c'est avec le choix. L'une des façons d'exprimer sa liberté, c'est avec le choix. Les femmes qui n'ont pas le choix sont des femmes que nous n'estimons pas libres.
Speaker 1:Je parle des femmes parce que le contexte des réseaux sociaux met beaucoup cet argument en avant pour les femmes, mais ça marche aussi, évidemment, pour les hommes. Donc, le plus grand moyen d'exprimer sa liberté, c'est en faisant des choix, parce que les gens qui n'ont pas le choix, ils ne sont pas libres. Et donc, ça me semble très, très dangereux parce que, comme toutes ces phrases sur les réseaux sociaux, à force de raccourcir, de faire un petit peu des messages flash rapidement mangeables et digestibles, et surtout à chier, on va se le dire, c'est qu'à force de couper, ça a plus de sens. Alors, évidemment, il fallait comprendre au travers de ça que ce sont des personnes qui ne veulent pas choisir entre, par exemple, leur maternité et leur carrière, entre leur féminité et leurs résultats, entre leur connexion à Dieu et leur performance entrepreneuriale. Évidemment, c'est ça qu'il faut quand on creuse, c'est ça qu'il faudrait qu'on trouve.
Speaker 1:Mais le langage est important, parce que le langage crée notre réalité, le langage crée aussi notre mode de penser. Le langage crée ce que nous observons, ce que nous voyons, il crée nos filtres. Et alors, partir du principe que nous ne voulons pas choisir est extrêmement dangereux quand, soi-disant, il s'agit de femmes qui veulent être plus libres. Attention, parce que et c'est le sujet dont on va parler maintenant après cette petite introduction le fait même de choisir nous permet d'opter pour notre liberté. Et, du coup, moi qui suis porteuse de ces codes de liberté, je peux vraiment l'affirmer, parce que si tu es ici en train d'écouter, c'est parce que tu viens te connecter à ces codes de liberté que je possède, que j'ai, avec lesquels je suis née et que je transmets parce que c'est naturel pour moi et je ne m'en suis jamais déconnectée.
Speaker 1:La liberté passe par tes choix. Alors, ça ne veut pas dire que choisir, c'est renoncer. Bien sûr que non. Ça ne veut pas dire si je choisis une tartine de Nutella, je ne peux pas prendre une tartine à la confiture de fraises, je peux prendre les deux. Mais ce n'est pas parce que je veux tout avoir, c'est parce que je veux une tartine de Nutella et une tartine de fraises, mais je choisis de ne pas prendre une tartine de beurre, je ne choisis pas de prendre une tartine au beurre de cacahuète, je ne choisis pas de prendre une tartine de pâté, je ne choisis pas Ainsi de suite. Donc, quand on dit je veux tout, ça veut dire que tu auras tout. Suite, donc, quand on dit je veux tout, c'est à dire que tu auras tout. Donc, sur la table, tu vas devoir bouffer des tartines de un million de choses.
Speaker 1:Non, donc, choisir ne veut pas dire renoncer ça. Je suis contre cet adage. Je ne sais pas de qui ça tient, de qui ça vient, et on va en reparler dans la deuxième partie, mais pour l'instant, attachonsnous au fait que, quand on choisit, c'est important de choisir exactement ce qu'on veut. Donc, la question, c'est qu'est-ce que tu veux? Donc, si, aujourd'hui, tu n'as pas envie de choisir, qu'est-ce que ça veut dire?
Speaker 1:Est-ce que c'est parce que tu n'as pas envie de renoncer? C'est très différent de se dire je ne veux pas renoncer à ça que de dire je ne veux pas choisir. Parce que quand on dit je ne veux pas renoncer à ma carrière alors que je suis maman, ça c'est une expression d'un choix. Mais quand on dit je veux tout avoir, tu vas aussi tout avoir, c'est-à-dire tout le positif et toute la merde. Moi, dans ma vie, je ne veux absolument pas tout avoir. Je ne veux pas avoir la pauvreté, je ne veux pas avoir le mensonge, je ne Non, non, je ne veux pas tout avoir.
Speaker 1:Donc, qu'est-ce que je veux? Ah, ok, je veux ça plus ça, plus ça, c'est tout. Et je choisis ça, plus ça, plus ça. Donc, si je choisis aujourd'hui de manger un goûter composé d'une tartine de Nutella, suite à une tartine de beurre, suite à une tartine de confiture de fraises, j'en choisis trois, mais je ne choisis pas une tartine de houmous.
Speaker 1:Tu vois, donc, à un moment donné, il s'agit de placer nos choix et de se rendre compte aussi que c'est pas qu'on veut tout avoir, c'est qu'on a envie d'avoir plusieurs choses en même temps. C'est plusieurs choses, quelles sont-elles? Parce que quand tu vas les définir, tu vas t'apercevoir qu'en fait, c'est très peu de choses. En général, ça rentre dans une seule main Quand tu cherches le chapeau, l'idée maîtresse de chaque chose. En fait, il n'y a pas 36 idées en vrai.
Speaker 1:Donc, tu ne veux pas tout, tu ne veux pas une table remplie de tartines du monde. Non, tu veux trois tartines, ok. Et donc là, tu te rends absolument disponible pour faire ton choix sur ces trois choses-là, par exemple. Mais ça peut être deux, ça peut être quatre. Donc, se dire je choisis cette expression de la liberté et dire je veux tout, c'est le fait de se dire que tu es ouverte. Tu es ouverte à tout recevoir, le bon et le mauvais, mais tu peux choisir d'être ouverte à prendre que le bon, et ça, c'est hyper dangereux.
Speaker 1:Et moi, quand j'entends des gens qui disent je veux tout avoir, je trouve ça grave, Parce que c'est l'expression même de la soumission à un système extérieur à nous-mêmes. Ah oui, mais moi, je veux tout avoir. Ah, ben voilà. Donc, alors, moi, je veux avoir les ennuis, je veux avoir les gens débiles, je veux avoir toutes les emmerdes du monde, je veux avoir la pauvreté dans ma vie. Je veux Non, non, non, non, non.
Speaker 1:Je choisis et je m'y attèle. Je choisis et je m'attèle à ça Parce que quand on a des difficultés à choisir, ça peut être lié au fait qu'on ne veut pas renoncer à autre chose. Mais posons les mots sur ce autre chose et choisissons de combiner plusieurs choses. Évidemment, j'ai fait énormément d'épisodes sur l'histoire du compromis. Moi, je suis contre les compromis. Je trouve que c'est une situation où tout le monde perd. Tout le monde a quelque chose qui perd dans cette situation. Je suis contre les compromis.
Speaker 1:L'idée, ce n'est pas de te dire comment faire un compromis entre tout ce que je veux Pas du tout, mais c'est de choisir en conscience tout ce que tu veux mettre dans l'équation. Et ensuite, tu t'attelles à toutes les les inconnus ou les connus de ton équation, mais déjà, on les définit, on les définit et et on fait un choix, parce que, première chose que je te disais, c'est peut-être que tu n'arrives pas à choisir parce que tu ne veux pas renoncer. Ok, donc ça, on vient d'en parler. Peut-être que tu n'arrives pas à choisir parce qu'en fait, les options qui s'ouvrent à toi, il n'y en a aucune qui semble répondre à ton équation à toi. Mais alors ça, il faut déjà avoir l'équation, c'est-à-dire il faut savoir pourquoi je suis disponible.
Speaker 1:Donc, si, évidemment, toi tu cherchais une tartine de Nutella et de confiture de fraises et qu'on te propose du houmous, ouais, bof, bof, mais en fait, si tu sais pas ce que tu veux, bah, le houmous, ce vois. Donc, peu importe ce qu'on te sert, ta faim, tu manges. Mais effectivement, si, par contre, toi tu n'es disponible que pour manger une tartine de fraises, le mousse, ça ne marche pas, mais tu n'es pas disponible pour tout, c'est faux, c'est fondamentalement faux. Et se dire je ne veux pas avoir à choisir, reviendrait à dire je ne veux pas exprimer ma liberté. Alors, si pour toi, c'est ça, vas-y, mais en fait, tu ne serais pas en train d'écouter ce podcast.
Speaker 1:Donc, si tu veux exprimer ta liberté, l'expression de la liberté, en tout premier lieu, passe par le choix, le choix radicalement honnête. Moi, souvent, on me dit Mais Laetitia, comment tu fais pour avoir atteint ce niveau-là de liberté? Juste, parce qu'en fait, la liberté, c'est la capacité, l'art de décider, l'art de faire des choix, décider, l'art de faire des choix. Et les choix, ils sont sous-tendus par quoi? Par une direction, parce que si je ne sais pas où je vais, je n'ai pas besoin de faire de choix.
Speaker 1:La vie m'amènera quelque part Et ce ne sera pas ni bon ni mauvais. Ce sera quelque part, il n'y a pas à le juger. Donc, si on n'a pas de direction, si on se laisse naviguer par la vie, ça peut être une expérience absolument formidable. Ça peut s'appeler le flot, ça peut s'appeler la vie, ça peut s'appeler l'inconnu, ça peut s'appeler le voyage, ça peut s'appeler l'ouverture, ça peut s'appeler la foi, le lâcher prise, mais ça ne s'appelle pas la liberté. Voilà, et si on veut exprimer sa liberté, c'est par le fait de faire des choix Et donc de dire oui à quelque chose, oui à plusieurs choses qui, si tu es là, à plusieurs choses qui, en général, ne sont pas censées se combiner ensemble et non au reste, non pas parce qu'on renonce au reste, mais parce qu'on ne veut pas du reste dans notre vie.
Speaker 1:Et ça, c'est très différent. On dirait que je suis un peu énervée là, mais je suis un peu énervée en vrai. Et du coup, c'est très grave de remettre ce discours entre les oreilles, les yeux et les mains des femmes, de dire je ne veux plus avoir à choisir. Et comme les mots forgent notre réalité, entendre une femme qui dit je ne veux pas avoir à choisir, même s'il manque, et surtout parce qu'il manque, la fin de la phrase. C'est grave parce que, au contraire, les femmes qui ne sont pas libres, tout ce dont elles rêvent c'est de pouvoir faire des choix. Parce qu'on ne leur donne pas, et dieu sait si, dans le monde, il ya du boulot par rapport à la liberté des femmes.
Speaker 1:Donc, les femmes, quand on a cette liberté-là, exprimons-la au travers de nos choix, en faisant des choix en conscience de quelles sont les choses qu'on veut mettre dans notre équation et quelles sont les choses qu'on ne veut pas mettre dans notre équation. Donc, ce n'est pas que tu ne veux pas choisir entre ta carrière et ta vie d'épouse, ta vie d'époux, ta vie de femme, ta vie de sportive, ta vie de sportif, ta vie de performance athlétique, je m'en fous quoi. Au contraire, c'est que tu fais le choix que ces choses-là aillent ensemble. Tu fais le choix que ces deux choses-là, trois choses-là, puissent se combiner, et tu ne sais pas vraiment comment. Au début, quand tu commences, tu n'en sais rien de comment ça va se faire. Mais, en gros, le but de ta vie, ça va être ça de combiner des choses qui ne sont pas censées aller ensemble.
Speaker 1:Quand, moi, j'ai combiné l'instruction à une famille avec un business à six chiffres. Ce n'était pas censé fonctionner ensemble à six chiffres. Ce n'était pas censé fonctionner ensemble. Ce n'était pas censé fonctionner ensemble. Je n'avais pas de modèle. Peut-être qu'il y en avait, mais de toute façon, moi, je ne cherche jamais de modèle, donc je ne l'ai pas cherché.
Speaker 1:Donc, s'il faut, ça existait Et ça existe sûrement. Mais dans ma vie, je n'avais jamais eu personne avant moi qui avait fait ça. Je n'avais personne à regarder. Et donc, j'ai créé à partir de ça, non pas parce que je voulais prouver que c'était possible, parce que j'ai fait le choix de combiner ces deux choses qui étaient importantes pour mon épanouissement à moi.
Speaker 1:On n'est pas là pour prouver Ouais, je vais te prouver que les femmes, elles peuvent gagner six chiffres tout en éduquant leurs enfants à la maison. On s'en fout de ça. Qui c'est qui nous regarde? on a à prouver quoi, on a quel âge? là, on est en train de prouver à papa ou à maman que je cours très vite. On n'en est plus là. On n'est pas en train de se prouver à nous-mêmes. Il faudra peut-être que je fasse un épisode sur ça. Quand, en fait, on glisse là et quand on fait des choix. On fait des choix pour se prouver des choses Ou pour prouver des choses à des gens très proches qui nous aiment Notre conjoint, notre femme, notre partenaire, nos enfants, nos parents alors que, de toute façon, qu'on y arrive ou qu'on n pas, ces gens-là, ils nous aimeront, ça ne changera rien, en fait.
Speaker 1:Et du coup, là, on perd notre quête. J'en parlerai dans un prochain épisode. Mais ce qui est très important, c'est de faire le choix, conscient de toi, qu'est-ce que tu mets dans ton équation, en quoi c'est important pour toi? et déroule. Déroule la vie, déroule les actions, déroule les choix. Déroule Parce qu'à ce moment-là, une fois que tu vas choisir la vie, dieu, l'univers, tes guides je ne sais pas comment tu l'appelles vont te mettre dans une situation où tu vas devoir exprimer ta liberté.
Speaker 1:Donc, tu vas te retrouver dans une situation où tu vas avoir un client qui va te demander un rendez-vous, spécifiquement à un moment où toi, tu aurais voulu être en famille. Et ce n'est pas une situation qui t'est présentée de manière taquine, genre un peu mesquine Ah, ah, ah. Mais vas-y maintenant, fais ton choix. Pas du tout, c'est parce que tu as demandé ça. En fait, tu as demandé à exprimer ta liberté, tu as demandé ça. Ok, voilà, vas-y maintenant Du coup, là, dans cette situation, par exemple, qu'est-ce que tu fais?
Speaker 1:Et ce n'est pas qu'il y a quelqu'un qui te regarde en train de faire ce choix. Bien sûr que si Tes enfants te regardent, les gens autour de toi te regardent parce que tu vas être une inspiration pour eux dans cette situation, bien entendu, mais Parce que tu vas être une inspiration pour eux dans cette situation, bien entendu. Mais en réalité, la première personne qu'ils regardent, c'est toi. Et donc, tu vois là te retrouver dans une situation où il va falloir réexprimer ta liberté en faisant tes choix de combiner les deux ensemble, les trois ensemble, les quatre choses ensemble.
Speaker 1:Et donc, tu vas te retrouver dans des situations de vie qui vont te demander ce qu'on appelle du leadership et qui vont te demander, parmi les quatre tartines que tu as choisis, ok, là, je t'amène un truc. C'est une tartine avec laquelle le bout du pain, il commence par du houmous, au milieu t'as du Nutella, l'autre milieu t'as de la fraise et le dernier t'as du guacamole. Et toi tu fais Ah non, comme ça a l'air dégueulasse ça. Ah non, là c'est dégueu quoi. Bah, du Nutella mélangé au guacamole, mais ça doit être horrible.
Speaker 1:Ah non, mais en fait, on ne s'était pas compris pour avoir une tartine de chaque goût que tu as choisi. Parce qu'on ne s'était pas compris, choisis. Mais peut-être que tu vas te dire c'est intéressant, je n'avais pas pensé qu'on pouvait avoir une tartine avec ses quatre goûts sur une seule tartine. Je vais goûter, parce que peut-être que tu as l'âme culinaire aventurière, et du coup tu vas goûter ça hier, et du coup tu vas goûter ça, mais peut-être que pas du tout. Tu sais déjà que c'est pas ça que tu veux. Et là, il va falloir réexprimer ce choix, réexprimer cette liberté, mais pas du tout dire Ah, bah, ouais, tu vois, putain, j'en étais sûre quoi?
Speaker 1:Bah, maintenant je vais être obligée de le saupoudrer de chocolat en poudre ou de sucre glace pour que ça ait un autre goût. Non, mais pas du tout. C'est démentiel de pouvoir se dire ça, donc non. Et quand j'entends toutes ces phrases qui disent le club des femmes qui ne veulent plus avoir à choisir, c'est très grave, ou bien il faut finir la phrase.
Speaker 1:Le club des femmes qui ne veulent plus avoir à choisir entre leur carrière et leur vie de maman, et encore, c'est pernicieux, parce que si ce même club, il s'appelle le club des mamans qui ont choisi de développer leur carrière professionnelle en même temps que de vivre leur meilleure vie avec leurs enfants. Au niveau énergétique, au niveau Tu le sens quand j'en parle, on ne parle pas du tout des mêmes choses. On ne parle pas du tout de la même direction. Il y en a une.
Speaker 1:C'est un combat. On combat contre des gens qui nous ont empêchés, ou qui nous auraient empêchés dans la lignée, de faire ces choses, mais on n'est plus dans le même contexte, on n'est plus dans le même contexte, on n'est plus dans la même société, on n'est plus les mêmes personnes, on n'est pas notre lignée. Donc, ce sujet, il est vraiment très important Et j'aimerais pouvoir partager cet avis à des milliers de personnes pour qu'on arrête d'avoir ces espèces d'amalgame entre le fait de tout vouloir, vouloir tout et, en fait, s'apercevoir que non, on ne veut pas tout, on veut un certainombres de choses qui, très souvent, n'ont pas de modèle chez nous, mais qui existent déjà, mais qui ne sont pas, à ce moment-là, à notre portée. C'est un peu ce que je disais quand j'avais mon business à six chiffres, avec mes clients, 100% d'hommes, et que je décide de faire l'instruction en famille.
Speaker 1:Je n'avais pas de modèle. Mais très rapidement, quand je suis rentrée là-dedans et que là-dedans, dans ce choix-là, dans le fait de combiner ces deux éléments ensemble, je me suis aperçue réellement qu'il y en avait d'autres, mais je ne les avais pas connus avant. Pourtant, ces gens-là, ils existaient, mais moi, c'est un espace auquel je n'avais pas encore accès, comme une espèce de jeu dans lequel il y aurait des niveaux, des paliers, voilà. Et bien, moi, j'étais au niveau 1, donc, je ne voyais pas, au niveau 3, ce qui se passait, parce que je n'avais pas passé les portes, je n'avais pas passé les capes, je n'avais pas passé les niveaux. Et ça me rappelle une collègue et amie qui me dit j'ai une idée révolutionnaire, ce que je vais faire.
Speaker 1:10 ans avant, je l'avais fait ça. Et elle m'avait dit non, mais c'est révolutionnaire, il n'y a personne qui n'a jamais fait ça. Et je lui avais répondu c'est révolutionnaire pour toi, c'est révolutionnaire pour toi, ce n'est pas révolutionnaire en termes de pour la planète, pour l'humanité. Ça a déjà été fait et refait, et refait La preuve. Même moi, tu m'en parles, même moi, je l'ai expérimenté, et je l'ai expérimenté il y a dix ans, plein de fois, pour l'avoir proposé.
Speaker 1:Et donc, souvent, dans ce truc, pour les femmes qui n'ont pas à choisir, mais justement, il faut que les femmes choisissent. C'est ça qu'on veut. Ce qu'on veut, ce qu'on veut, c'est que des femmes choisissent et qu'elles choisissent de combiner des machins qui ne sont pas censés aller ensemble. Et, du coup, quand on parle de ce sujet-là, on voit que ce n'est plus une question de femmes, on voit que c'est une question d'humanité, parce que là, ça nous donne envie d'embarquer des hommes qui, peut-être, aimeraient combiner des choses qui ne vont pas ensemble, mais parce qu'ils sont des hommes, ils ne se l'autorisent pas. Et peut-être qu'il y a des hommes qui pourraient ainsi élever leur voix avec un E et leur voix avec un X, en combinant de la performance sportive avec de l'art, de la performance financière avec de l'art, avec de l'art, de la performance financière avec de l'art, avec leur paternité, avec tout un tas de choses que je ne peux même pas imaginer puisque ça ne m'appartient pas, ça appartient à l'humanité Et ça, quand on aura compris ça et on a un rôle très important, nous, les femmes là-dedans on aura tout compris, parce que le combat des gens, des personnes libres, c'est fait pour avoir le choix, et quand on n'a pas le choix, on n'est pas libre, de fait.
Speaker 1:Donc, cette question du choix, c'est vraiment un art. J'avais pensé faire un sujet, un programme, un accompagnement là-dessus, qui s'appellerait l'art de décider, parce que c'est vraiment pour moi un art puisque je l'exprime chaque jour, puisque je porte ces codes de la liberté là, et qui demande des choix tranchés. Voilà, et c'est pas des non choix, c'est pas des non choix, sinon c'est l'extérieur qui décide, et l'extérieur peut décider des bonnes choses comme des mauvaises choses. Et c'est l'extérieur qui décide Et l'extérieur peut décider des bonnes choses comme des mauvaises choses. Et ce n'est pas là qu'on est.
Speaker 1:Et ce sujet, il me tient vraiment à cœur, parce que l'art de décider permet la liberté, l'art de décider permet la liberté. Et donc, ce n'est pas que nous voulons tout avoir, c'est que nous voulons combiner des éléments ensemble qui, sur le papier, en théorie, ou de par notre histoire, ou de par notre expérience, ou de par notre vécu, ou de par notre lignée, ne sont pas des choses qu'on a vues comme viables ensemble, ou, en tout cas, on n'a jamais eu de modèle sur ce sujet-là nous-mêmes. Et donc, ce qu'il nous faut faire, au contraire, c'est choisir de les combiner et de nous y atteler chaque jour, en nous rendant totalement indisponibles à tout le reste. Si je choisis de combiner la maternité avec le développement d'un business, exactement dans le même espace-temps, dans le même espace de vie, par exemple. Ok, je m'y attelle, mais là, je n'ai pas de disponibilité pour autre chose. Je n'ai pas de disponibilité pour ajouter une autre inconnue là-dedans. Je m'en fous. Moi, je ne suis pas là pour combiner 25 choses ensemble, je suis là pour combiner ces deux.
Speaker 1:Ok, ben, allons-y. Et on fait ça. Ok, si, dans le parcours, on se dit ah, merde, j'ai oublié dans l'équation, il y avait un autre truc, c'est que je voulais, je sais pas, le couple, c'est que je voulais, je sais pas, c'est que je voulais le sport, c'est que ok, mais on rajoute. Ok, donc, moi j'ai, j'avais une équation, il ya ces trois choses qui sont possibles. Ok, ah ben, on y va. Et en fait, en y allant, on va s'apercevoir qu'il ya tout un tas d'autres gens qui font ça depuis longtemps et qui font ça avec peut-être d'autres critères et du coup, ce qui? ce qui le rend complètement incomparable.
Speaker 1:Alors, ces regroupements, spécifiquement de femmes qui veulent tout, moi ça me fait vraiment peur, parce que déjà, ça nous divise entre les hommes et les femmes. Pourquoi, en fait, il y aurait des femmes qui veulent tout? mais les hommes aussi peuvent vouloir tout, est ce qu'ils ont, est ce qu'ils ont tout, je sais. Est-ce que c'est nécessaire de rentrer dans une bataille? Je n'espère pas. Donc, ce ne sont pas des clubs ou des mouvements de femmes qui veulent tout. Ce sont des mouvements.
Speaker 1:Ça devrait être des mouvements de femmes et d'hommes qui, au contraire, choisissent vraiment. Et ça, ça, ça change tout, parce que, dans un cas, on lutte contre une espèce de chimères inventé, parvenu de nos lignes et de nos croyances, de notre histoire personnelle ou collective. Dans l'autre cas, on crée à partir de rien, on innove, et quand on crée à partir de rien, c'est ce qu'on appelle faire vivre le divin en nous, et on n'est pas dans la lutte, on est dans l'amour suffisamment grand de la vie pour se dire que c'est possible Sans avoir de preuves. Ça s'appelle la foi, et là, on n'a pas la même conversation. Donc, s'il vous plaît, faites-moi des feedbacks sur ce sujet.
Speaker 1:J'espère que ça va allumer les lumières aux bons étages et éteindre les feux qui étaient en train de se disperser de partout, parce que c'est vraiment dramatique aujourd'hui que, dans des sociétés occidentales, on puisse entendre des femmes qui ne veulent plus choisir. Donc, c'est très grave, parce que les femmes qui ne sont pas libres rêvent d'une seule chose, c'est de choisir. Alors, vu que nous, on a cette possibilité-là, exprimons notre liberté au travers de nos choix, chaque possibilité-là, exprimons notre liberté au travers de nos choix. Chaque jour, rendons-nous disponibles pour ces choix-là qu'on a nommés, qui sont clairs, qui sont évidents, qui sont conscients. Attelons-nous à les réaliser dans nos actions quotidiennes. Et le reste, nous ne sommes pas disponibles pour ça.
Speaker 1:Et c'est ça qui va créer un héritage pour nos contemporains, c'est-à-dire une trace qu'on laisse à ceux qui nous regardent et qui sont de la même génération que nous, et aussi à nos enfants, à ceux qui nous regardent qui sont d'une autre génération, ascendante ou descendante, et qui nous regardent en train de bâtir un paradigme différent, un paradigme différent non pas en opposition avec un autre, mais juste un paradigme différent de nous à nous. C'est ça qu'on appelle l'innovation, c'est ça qu'on appelle l'innovation, c'est ça qu'on appelle l'amour de soi, c'est ça qu'on appelle le respect de soi, c'est ça qu'on appelle la connaissance de soi. Il n'y a pas besoin de grands mots, il n'y a pas besoin de grands mots.