LES AFFRANCHIS

Si je disais vraiment ce que je pensais, voici ce que je dirai | Saison 2 ✨

Laetitia MARTOS Season 2

Imaginez un espace où vos idées les plus audacieuses peuvent se transformer en réalités tangibles, un lieu où l'expression de soi est encouragée et où le jugement n'a pas sa place. Depuis plus de 12 ans, j'accompagne des personnes dans cette quête de créativité et d'authenticité, et aujourd'hui je vous partage une expérience mémorable lors d'un atelier de créativité exclusivement féminin. Une participante a captivé tous les esprits avec son courage à exprimer sincèrement ses pensées, inspirant ainsi un élan collectif d'admiration et de motivation. Cet épisode révèle la puissance de l'audace personnelle et de l'authenticité dans le processus créatif.

À travers mes réflexions, j'aborde également la possibilité de prospérer financièrement tout en réduisant la consommation, une approche qui s'est avérée enrichissante pour moi à un moment crucial de ma vie. Pour moi, le business n'est pas une question de profit, mais une extension de notre être intérieur, un moyen d'exprimer notre véritable essence. Je partage avec vous ma décision audacieuse de restreindre mes collaborations à seulement quatre personnes en 2025, permettant ainsi un engagement total et exclusif. Joignez-vous à moi pour découvrir comment vivre une vie de passion et d'excellence, selon vos propres termes.

Si toi aussi, tu veux m'écrire une lettre manuscrite clique ici et envoie le mot "LETTRE""

Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.

Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.

Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.

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Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.

Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.

Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :

🌸 Élever ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition

🌸 T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs

🌸 Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.

Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.

Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.

Retrouve moi dans des espaces intimes et puissants d'accompagnement, c'est mon métier depuis 12 ans sur www.laetitiamartos.com

Speaker 1:

Bonjour, bonjour Facebook, j'espère que vous allez bien. J'ai envie de vous partager une petite expérience et une discussion qu'on a eue la semaine dernière. Donc, pour me présenter rapidement, si tu ne me connais pas encore, je m'appelle Laetitia. Ça fait 12 ans que je fais la même chose. Dans 15 jours, ça fait 12 ans que la même chose c'est. Je prends les idées que tu as dans la tête, qui te semblent bien compliquées, voire même carrément infaisables, et je mélange ton art, ta façon unique, ta médecine, avec la technique nécessaire pour que ça se traduise dans la matière. Et ça, en fait, on se dit c'est simple, une fois qu'on a la technique, on sait comment faire, il suffit de savoir se servir d'un ordinateur, du digital, etc. Mais en fait, dans le parcours, on rencontre énormément d'éléments, de sujets, de thématiques, de blocages, de croyances qui sont autour d'oser et autour d'assumer pour s'exprimer publiquement sur notre sujet. Et c'est ça que moi, j'accompagne. J'accompagne le fait d'oser, le fait d'assumer, non pas parce que moi j'ai des difficultés à oser, à assumer, mais parce que j'en ai pas.

Speaker 1:

Et du coup, comme j dernière, j'ai organisé 7 jours de créativité avec des gens extraordinaires D'ailleurs, il n'y avait que des femmes parce que moi, dans mon monde, il y a des hommes et des femmes, et cette fois-ci, il n'y avait que des femmes. Et donc, c'était extrêmement puissant parce qu'à un moment donné, il y a une magnifique personne qui dit voilà ce que j'aimerais écrire, est-ce que tu peux me donner ton avis sur ce sujet? Et puis après, elle me dit si j'osais vraiment, si je disais vraiment ce que je pensais, voilà comment je terminerais ce que j'ai à dire. Et elle le note, elle écrit de sorte que tout le monde pouvait le voir.

Speaker 1:

Et là, j'ai reçu plusieurs messages en privé, d'autres personnes qui m'ont dit Waouh, eh bien, moi, j'aimerais être comme elle. J'aimerais être comme elle et dire vraiment ce que je pense. J'aimerais être comme elle et avoir ce niveau d'audace, ce niveau d'ambition personnelle. Et ce niveau d'ambition, ce serait dire vraiment ce que je pense, parce que ça, c'est une sacrée ambition. Et donc, c'était très fort, parce que, du coup, j'ai dit à cette personne j'ai reçu plein de messages en privé pour te dire que, finalement, ça les avait beaucoup inspirés d'avoir ce niveau-là de vérité et de se dire publiquement je vais dire vraiment ce que je pense, dans un espace sécurisé entre nous, où il n'y a personne de trop qui sait.

Speaker 1:

C'est ce que j'appelle l'environnement bac à sable. C'est un environnement de test où on peut se permettre d'oser, parce que soit on est seul avec moi, avec Laetitia, soit on est dans un tout petit groupe, et donc c'est chouette, on peut commencer à se permettre. Mais c'est un environnement de test. On a le sentiment que ce n'est pas la vraie vie, sachant que comme la réalité n'existe pas, ça veut dire que c'est quand même la vraie vie. Et donc, cette personne-là, en écrivant vraiment ce qu'elle pensait vraiment, elle en a inspiré plein d'autres, plein d'autres qui ont réussi, du coup, à se connecter à ce qu'ils pensent vraiment.

Speaker 1:

Donc, là, c'était des L, donc elles disaient mais en fait, moi, vraiment, ce que je pense, c'est ceci, c'est cela, c'est le reste. Et il y avait cette énergie, un peu de feu là que j'adore. Mais moi, je pensais ça et j'aimerais dire ça. Il faut qu'il y ait quelqu'un qui dise ça. Moi, avec mon expérience, je sais que tac, tac, tac, tac, et du coup, il y a la sauce qui, chez chacun, non pas dans le groupe, mais chez chacune, qui a commencé à monter en disant mais c'est ça que je veux exprimer Et moi, bonjour, ma jolie bonjour, et moi, c'est ça que je fais. Ce que je fais, c'est prendre la petite phrase qui est tu sais, laetitia, si je disais vraiment ce que je pense, si je faisais vraiment ce en quoi je crois, si j'allais jusqu'au bout de ma pensée, ça se terminerait par telle phrase, telle intention, telle organisation, telle modalité.

Speaker 1:

Par exemple, j'ai accompagné une dame qui fait un métier très connu parce qu'elle est coiffeuse Et, en fait, elle n'était jamais avec ses enfants Et elle disait mais, en fait, si on se respectait entre femmes, on ne prendrait pas un rendez-vous chez le coiffeur le mercredi après-midi, Parce qu'on sait qu'une coiffeuse a souvent des enfants et qu'elle a monde de pouvoir accompagner ses enfants à ses activités. Donc, si on se respectait entre nous, on prendrait même pas rendez-vous chez moi, pas bête la guêpe. Mais en même temps, si le salon est ouvert, on peut peut-être prendre rendez-vous du coup. Donc, en fait, on commence par qui? On commence par se dire j'attends que mes clients me respectent. Ou est-ce qu'on commence par dire en fait, je me vaux le respect de dire ouvertement ce que je veux.

Speaker 1:

Et cette dame, elle a fini par dire aux clientes ben, écoutez, je crois que le plus important pour moi. Je suis même sûre, en fait, elle ne croyait pas, elle était même sûre que c'était ça le plus important, mais elle a eu de la difficulté à le verbaliser, à l'exprimer publiquement, dans un métier où on travaille surtout le mercredi après-midi, parce que les mamans, elles, sont disponibles à ce moment-là, parce qu'il y a beaucoup de gens qui sont disponibles le mercredi après-midi, justement pendant que les enfants font leurs activités, et donc, c'était une discussion hyper intéressante. Elle a décidé de fermer son salon, en fait, le mercredi après-midi. Elle n'a pas diminué du tout son chiffre d'affaires, elle a augmenté son chiffre d'affaires, elle a même pu recruter une apprentie qui est maintenant pleinement embauchée.

Speaker 1:

Et ça, c'est vraiment important pour moi de dire que ça commence par cette fameuse phrase. Si je disais vraiment ce que je pense, voilà, et souvent, moi, je me vois en train de le faire en me disant mais en fait, ça c'est ce que je pense. Donc, je l'ai dit Et c'est ça qui inspire mes clients et qui font que, franchement, depuis 12 ans que je fais ce métier, depuis 12 ans, quand je dis à mes clients pourquoi vous m'avez choisi? 100%, 100%. J'accompagne des hommes, des femmes, j'accompagne des noirs, des blancs, des gris, des jeunes, des qui croient à ceci, des qui croient à cela.

Speaker 1:

J'accompagne des gens, mais d'une grande diversité Des gens qui débutent alors qu'ils ont 50 ans, des gens qui ne débutent pas du tout en tant qu'entrepreneurs, alors qu'ils ont 28 ans. J'accompagne des gens très différents Et 100% me disent c'est ton énergie, je t'ai cho pour ton énergie, parce qu'effectivement dans mon énergie et c'est pour ça que même mes clients, quand ils me choisissent pour travailler avec moi plus tard parce que souvent ce qu'ils font c'est ça ils payent maintenant et ils me disent alors attends, avant de commencer à travailler avec toi, j'ai besoin de mettre ça et ça, ça, ça, ça, ça, au clair. Voilà, du coup, ils payent maintenant, mais en fait, ils me demand mes espaces plus tard, ce qui est entièrement possible. Et pourquoi? Parce que le fait même d'être dans mon énergie permet de se connecter à cette ambition. Parce que c'est vraiment une très grande ambition d'être soi-même Et de se respecter pleinement en étant soi, sans se dire Ah, je devrais me le montrer comme ça, je devrais expliquer, je devrais un peu l'entourer, je devrais me le montrer comme ça, je devrais expliquer, je devrais un peu l'entourer, je devrais faire que c'est mieux, que c'est plus clair, que c'est plus joli, que c'est plus professionnel, que c'est…. Voilà, et c'est ce voyage, cette itinéraire d'acceptation pleine de qui on est, même si ça ne fait pas écho avec quelque chose qui existe.

Speaker 1:

Par exemple, ma première année où j'ai fait 6 chiffres, c'est l'année où je me suis demandé si on pouvait gagner plus en consommant moins. Donc, la réponse, évidemment, c'est oui, en tout cas dans ma vie à moi. Et donc, ça, c'était chaque. Je me donne une grande question et à la fin de l'année, je réponds à la question Et cette année-là, c'était peut-on gagner beaucoup plus et consommer beaucoup moins?

Speaker 1:

La réponse, c'est donc oui, mais quand j'étais sur ce trajet d'aller vers les six chiffres, je n'avais aucune idée que j'étais vers les six chiffres. Donc, évidemment, quand je le raconte, vous vous avez la conclusion, mais moi, je ne l'avais pas, je n'avais ni la conclusion financière ni la conclusion à cette question-là. Et donc, je veux vraiment vous inviter à réfléchir à cette idée et à agir. Quoi? Parce qu'en fait, réfléchir, c'est chouette, on se masturbe le cerveau là, mais en fait, la vie, elle n'est pas dans notre tête. La vie, on ne vit pas en théorie. Quoi, on vit là où vous êtes en ce moment.

Speaker 1:

Moi, je suis à Goa, c'est écrit sur l'étiquette. Et moi, ma vie, je ne suis pas une, je suis une nana sérieuse, parce que je suis extrêmement ambitieuse Et mon ambition, elle est de vivre ma vie telle que je veux la vivre, avec l'art et la manière. On fait les choses bien, on fait les choses proprement, on fait les choses avec excellence ou on ne les fait pas. Mais je ne suis pas une nana sérieuse. Avec mes clients, on rit beaucoup.

Speaker 1:

Hier, j'ai enregistré ce fameux vocal à Thibaut, et où il y a le chant du coq. Mais je ne m'en sors pas de ce chant de coq Et je suis comme mais c'est horrible. Et lui qui me fait un message et qui me dit c'est sympa, le, il n'y a rien de sérieux là-dedans, encore moins dans nos business, parce que moi, je ne fais pas du business. Mais ça, je l'ai appris tard, C'est-à-dire maintenant. Je ne fais pas du business comme les gens, je fais la vie, je fais la vie et pour moi, le business, c'est uniquement l'expression extérieure de qui on est à l'intérieur. En tout cas, avec mes clients, on ne travaille que comme ça.

Speaker 1:

Notre business, c'est le reflet, c'est l'expression de qui nous sommes dedans. Parce que qui nous sommes dedans, il n'y a que nous qui l'expérimentons. Il n'y a que nous qui expérimentons ce que nous vivons dedans. Sauf si on est vraiment honnête avec nous-mêmes, sauf si on dit ce qu'il y a après la phrase de ce live qui est si je disais vraiment ce que je pense, voilà ce que je dirais. Et qu'on le dise vraiment, parce que ça, ça va permettre aux autres d'expérimenter la vie à travers nous.

Speaker 1:

Mais ça change tout, parce qu'en fait, ce que nos clients veulent, c'est la vie à travers nous. Et comme on s'adresse à des gens hyper intelligents, on a quand même de la chance. Les clients sauront prendre nos lentilles, nos lunettes Hello. Ils sauront prendre nos lunettes et chausser nos lunettes de Hello Et se reprendre nos lunettes et chausser nos lunettes de temps en temps.

Speaker 1:

Voir la vie comme nous Waouh, ah, c'est sympa de la voir comme ça, reposer, prendre d'autres lunettes, voir la vie avec une autre paire de lunettes, avec les leurs, et peut-être qu'en fait, le fait d'avoir mis nos lunettes, ça va leur permettre de mixer d'autres angles de vue. C'est pour ça qu'on est là, sinon on ne serait pas aussi nombreux. On avait une discussion hier avec un monsieur qui s'occupe de coordonner les ados sur le site en Inde, où on est à Goa, et en fait, il a expliqué que c'était hyper mal vu de s'excuser, notamment quand on se connaissait très bien, quand on vivait dans une communauté, quand on était entre membres de la famille ou des amis. C'était hyper mal vu en Inde de s'excuser, par exemple dire Désolée, j'ai besoin de toi, désolée, est-ce que tu pourrais m'aider à faire ça?

Speaker 1:

Je suis désolés, parce qu'en fait, c'est le sens contraire. Et il dit vous, les occidentaux, c'est très bizarre parce que vous passez beaucoup de temps à vous excuser. Alors, on disait mais comment on fait alors Concrètement, apprends-nous? Il nous dit en fait c'est plutôt soyez reconnaissant. J'ai toujours le sac à dos licorne Depuis hier. J'ai toujours le sac à dos licorne depuis hier. Vous avez vu qu'il me suit partout. C'est plutôt soyez reconnaissant d'avoir des gens pour vous aider et ça, ça change tout. Soyons reconnaissant pour les gens qui sont là pour nous aider. Et c'est ça que je, c'est ça que je suis dans ta vie. Et mes clients, ils m'embauchent pour faire notre vie ensemble. Et souvent, ils me disent au tout début Laetitia, est-ce que si j'ai aussi des questions de l'ordre personnel, je peux les apporter?

Speaker 1:

Non, mais attendez, on ne peut pas se diviser. On est notre expérience, on est tout simple. Et on ne peut pas dire expérience personnelle, professionnelle, mais ça n'existe pas. Ça, c'est une invention. On est un. On n'a pas les petits tirés avec l'icône des ciseaux à découper. Je ne prends que ça, je ne prends que la mer, je ne prends que le professionnel. On est un, déjà, on est un, et puis en plus, on est un, nous tous ensemble, et on ne peut pas découper le professionnel du personnel. Ce n'est pas possible.

Speaker 1:

Donc, mes clients, quand ils me posent cette question, est-ce que je peux? Je leur dis mais En général, ils posent ça le premier jour, mais, bien entendu, parce que moi, de toute façon, vous savez quoi? Je ne sais pas faire autrement. On ne peut pas travailler sans ça.

Speaker 1:

On peut travailler au thé, quoi? On peut faire de la surface, quoi? On peut se poudrer comme le sucre glace. Là, oui, oui, on travaille sur le professionnel. Mais moi, je ne suis pas là pour se poudrer, je ne suis pas là pour, non, je ne fais pas de la pâtisserie.

Speaker 1:

Donc, c'est vraiment important pour moi de vous dire que vous êtes un et on parle avec toutes les parties de vous. Quoi, c'est essentiel, sinon, on se ment, sinon, c'est quoi l'intérêt? Voilà Donc ce partage que je vais vous faire. Le cadeau que je vais vous laisser, c'est quand vous vous dites Oh, putain, peut-être que vous ne dites pas, putain, peut-être que vous êtes des gens vraiment super bien, vous ne dites jamais de gros mots, mais moi, je dis putain, avec un g à la fin. Et si vous dites putain, mais ça j'en peux plus, j'aimerais vraiment le dire Ou ça purée. Mais je dois dire ça parce que c'est vraiment très important, dites-le, parce que c'est ça qui fait boule de neige.

Speaker 1:

Et souvent, j'entends le discours de on prépare le monde de demain, mais il n'y a pas de monde de demain. Le monde de demain n'existe pas. Le monde, il est aujourd'hui ou il n'est pas pas. Donc, on ne prépare rien, On est là, on vit là. On ne vit pas demain, on ne vit pas hier, on vit maintenant. Donc, au lieu de préparer pour demain, vis pour aujourd'hui.

Speaker 1:

Et pour vivre pour aujourd'hui, ça demande de dire ce que tu penses Et ta vision unique. C'est ça qui fait que les gens viennent à toi Pour prendre, comme je le disais, tes lunettes, voir le monde à travers ton regard et se dire ah, mais c'est génial. Et moi, très souvent, les gens, ils prennent mes lunettes et ils trouvent la vie simple, la vie super simple. Et c'est ça que je veux te donner que la vie soit simple et que tu respectes ton ambition d'être vraiment toi en disant ce que tu penses, non pas que dans un environnement pas cassable, même si souvent il est nécessaire.

Speaker 1:

C'est ça que moi, je propose à mes espaces, c'est qu'on s'entraîne juste avec moi, comme ça c'est moins difficile d'assumer. Mais après, on va aller dehors. On va aller dehors et on va assumer publiquement, publiquement, nos pensées. Et publiquement, ça ne veut pas dire qu'on lutte contre, ce n'est pas un combat, en tout cas dans mon énergie. Ce n'est pas un combat. Ce n'est pas pour dire lui, il fait ça, c'est nul, eux, ils font ça, c'est de l'arnaque.

Speaker 1:

Non, c'est pour avoir l'ambition d'être nous-mêmes, et ce n'est pas une lutte contre, ce n'est une lutte. C'est pas une lutte, c'est, c'est un choix pour Moi. Je dis pas c'est nul de mettre ses enfants à l'école parce que nous, on est en homeschooling, voyez, parce que je ne pense pas que ce soit nul de mettre ses enfants à l'école, je pense juste que, chez nous, c'est la meilleure chose qu'on ait choisie pour nous, mais c'est tout. Ça n'implique que nous. Mais du coup, si moi, j'ai cette ambition pour moi, et que je la respecte, quelqu'un d'autre va dire Waouh, en fait, moi, je pourrais respecter mon ambition que mes enfants y fassent, je ne sais pas quelle école, ou je ne sais pas quel cursus, ou je ne sais pas. on ne duplique pas, ok. Et ça me paraît tellement évident Et souvent, les gens me disent Non, mais en fait, laetitia, ce n'est pas évident pour tout le monde, mais c'est pour ça que je viens là. Bonjour, ma Sandra, bon, premier jour après ton anniversaire, et ça, c'est vraiment, vraiment important.

Speaker 1:

Donc, commencez cette phrase en vous disant si je disais vraiment ce que je pensais, je dirais que parfois, vous allez commencer en étant en colère contre quelque chose qu'il y a sur votre profession, sur votre marché, sur quelque chose qui se dit beaucoup. C'est OK, coucou, ma Corinne. Donc, parfois, vous commencez comme ça, c'est OK. Et puis, quand vous allez épurer, vous tirez la chasse.

Speaker 1:

Là, avec toutes les méchancetés que vous voudriez dire, elles ont de l'intérêt ou pas, je ne sais rien, c'est vous qui choisissez, c'est vous qui jugez. Et après, vous allez arriver dans ce. Je dis ce que je pense parce que je veux pour, pas contre. Par exemple, moi, quand je vis de ma chasse, je vais vous dire je vois des gens qui font du business. Je veux pour, pas contre. Par exemple, moi, quand je vis de ma chasse, je vais vous dire je vois là genre des gens qui font du business et qui vendent leur business simple. Je fais un business simple.

Speaker 1:

Ok, là, je suis en Inde, donc j'ai 4h30 de plus avec l'Europe. Ok, je vois des gens là maintenant donc il est hyper tôt pour vous qui ont déjà publié 36 stories. Déjà publié 36 stories? What the fuck? 36 stories?

Speaker 1:

Non, mais en fait, t'es devenue une putain de machine, tu vois, c'est-à-dire que là, ta vie, elle est sur ton téléphone. Alors, sauf si tu penses que ta vie est sur ton téléphone, c'est ok, mais sinon, c'est pas ça que j'appelle un business simple. Alors, ça, pour moi, c'est dis vraiment ce que je pense. Je te dis ça Ok, très bien, et donc, et ça fait avancer le schmilblick, ça Pas du tout. Ce qui fait avancer le schmilblick, c'est ok. Moi, je fais un business simple. Voilà comment ça se passe. Un business simple, c'est la joie, c'est le plaisir Et c'est la magie, c'est des solutions pratico-pratiques, c'est on a un rêve.

Speaker 1:

Ah, regarde maintenant, il existe. Waouh, il existe en vrai. Il n'existe pas dans les stories, là, il n'existe pas dans les fioritures, il existe dans le vrai, il a une empreinte, il a un impact. Waouh, je suis fière de moi. La fierté. Il y a des jeunes qui sont fiers d'avoir fait 36 stories.

Speaker 1:

Quand t'avais 7 ans, tu te disais un jour, je publierai 36 stories avant 8h du matin. Jamais de ta vie. Par contre, peut-être qu'à 7 ans, tu t'es dit moi, un jour, je serai écrivain. Moi, un jour, je serai écrivaine, je publierai un livre. Et ce, ce livre, en fait, ça fait 12 ans que tu penses qu'il n'est toujours pas sorti.

Speaker 1:

Mais vas-y, viens, on travaille sur ça. Mais là, on va vraiment le travailler, c'est-à-dire qu'on va le sortir, ton livre. Et c'est ça que j'appelle traduire, traduire dans la matière tes rêves. Alors ça, c'est mon ultra spécialité, parce qu'en plus, je suis hyper efficiente, c'est ce que j'adore faire, parce que tu vois le résultat là, dans ta vraie vie, pas sur un écran, c'est là, ça existe.

Speaker 1:

Et vraiment, vraiment, j'ai à coeur de te dire finis cette phrase, finis cette phrase. Si je disais vraiment ce que je pense, voilà ce que je dirais, en dehors de le dire à ta meilleure copine, à ton ami avec qui vous faites un peu les langues de pute dans votre canal Telegram. On va parler de choses vraies. C'est ok de le faire, on est tous des êtres humains. Mais c'est aussi de dire mais vas-y, ça sort du bac à sable et allons le dire ensemble. Ok, c'est ça qui va faire la boule de neige Et on ne veut pas de la lutte contre. Parfois, c'est nécessaire. Parfois, c'est nécessaire Moi, parfois, je le fais De voir des entrepreneurs qui, autant, jadis, faisaient du ménage quelque part, et puis on dit je travaillais dans cet endroit-là, et donc, ça met un peu le flou sur quelle était la fonction.

Speaker 1:

C'est comme moi. Moi, j'ai bossé chez Apple. Tout le monde me dit Wow, putain, trop bien, t'as bossé chez Apple. Et personne, personne, personne, en 15 ans, m'a demandé ce que je faisais chez Apple. S'il faut, je nettoyais les toilettes, ok, pourquoi? Parce que je peux jouer là, sur le personne ne m'a vraiment demandé ce que je faisais. Ah, et donc, avec mon marketing, je peux jouer sur ça, sur le fait que j'ai bossé pour Apple et j'ai bossé pour Louis Vuitton et j'ai bossé pour Magie.

Speaker 1:

Mais tu faisais quoi là? tu faisais quoi dans cette fonction? ok, c'est ça qu'on veut savoir. Donc, parfois, moi, je l'ai dit, j'ai dit arrêtez ce bullshit. Et c'est nécessaire parce que je peux utiliser mon fonctionnement, mon expérience.

Speaker 1:

Ça fait 12 ans que je suis là, ça fait 12 ans que je fais la même chose. Donc, je veux dire je ne vais pas disparaître demain matin. J'ai fait la même chose depuis 12 ans et je continuerai à faire la même chose parce que c'est ma passion, c'est ce qui me passionne. Et le jour où ça ne me passionnera plus, tu sais quoi?

Speaker 1:

un peu ce truc de la colère pour dire maintenant, stop, ça suffit quoi? Voilà, sur ton marché, sur ta profession, sur une pratique, sur, parfois, c'est nécessaire, ok, d'accord, ok. Et puis, parfois, c'est juste nécessaire de déverser quelque chose. Moi, mes clients, ils m'utilisent pour faire ça. Et après, tu sais quoi, on tire la chasse, c' la colère est terminée. Voilà, c'est bon, ça va aller, gentil, gentil. Et quand la colère est terminée, on peut faire la même chose.

Speaker 1:

Si je disais vraiment ce que je pensais Pour, pour construire, pour bâtir, pour donner des nouvelles perspectives, pour ouvrir des champs, des possibles, pour ouvrir les cœurs, pour toucher les cœurs, pour donner de l'amour, pour, pas contre, voilà, allez jusqu'au bout de la phrase, s'il vous plaît, et taguez-moi dans votre prochain post, parce que vous, c'est le début de la journée, donc vous avez toute la journée où vous me faites un post, un live, une vidéo, un reels, un ce que tu veux, et tu me tagues dessous. Je vous aime Et, bien entendu, si c'est un sujet que vous voulez travailler et que vous m'avez choisi pour le travailler. il me reste une place pour janvier, mais j'ai deux personnes qui la veulent. Donc voilà, mais à partir de février ou janvier, si vous êtes ultra rapide, il me reste une place en janvier Et j'ai décidé, en 2025, de vraiment travailler avec peu de gens, comme j'ai toujours fait.

Speaker 1:

Mais là, je l'exprime publiquement aussi, c'est-à-dire que je vais prendre que 4 personnes. Moi, j'adore m'engager à fond et j'ai décidé que c'était 4 personnes uniquement avec lesquelles j'allais travailler en 2025, parce que je kiffe travailler avec vous et je kiffe travailler en en fil d'or, faire que ce soit vraiment unique. Donc, contactez-moi, j'ai de la place, une place pour janvier et j'ai trois places en février. Is that yours? Je vous aime, salut.