
LES AFFRANCHIS
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.
Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.
Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :
- Élever ton entreprise et ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition et de simplicité.
- T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs profondes.
- Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.
Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.
Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.
➡️ Mon métier :
Je m'appelle Laetitia Martos et je suis entrepreneur depuis 2013.
Je crée des espaces doux, confidentiels, intimes et bruts grâce auxquels tu oses et assumes pleinement qui tu es publiquement et rapidement.
Je me lève le matin pour créer des nouveaux chemins sociétaux qui peuvent être imaginés via ton parcours entrepreneurial et qui inspireront d'autres à faire bouger les lignes de nouvelles normes.
🫦 Je suis performante quand j’accompagne des entrepreneurs rapides, courageux et excellents dans leurs métiers.
🎁 Et si en plus tu es neurodivergent(e), mon profil te permettra d’exceller.
😋 Delicious Different Brains
Tous les codes concrets pour créer un business unique, sexy et prospère sans aucune méthode toute faite. On trouve ta méthode et on démultiplie tes succès.
🫦 eXpression
One To One pour révéler ton X Facteur, l’Assumer au niveau cellulaire, l’Exprimer et Oser le Révéler publiquement, le tout en un temps record.
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LES AFFRANCHIS
En dehors de ma zone de confort : Business en Inde pendant 1 mois | Saison 2
Imaginez-vous dans une ferme indienne, entouré de familles venues des quatre coins du monde, et plongé dans un quotidien bien loin de ce que vous aviez planifié. C'est là que commence notre aventure indienne. Accompagnée de ma fille, qui découvre le monde à travers une éducation en famille, nous avons été confrontées à des vols annulés, un décalage horaire épuisant et des moments imprévus qui ont mis notre sens de l'humour et notre résilience à l'épreuve. Venez découvrir comment nous avons appris à jongler avec ces défis tout en maintenant notre activité professionnelle.
La quête du bien-être intérieur, malgré le chaos extérieur, est au cœur de notre histoire. Au fil de nos péripéties, je partage mes réflexions sur l'acceptation de soi et l'importance de cultiver la paix intérieure. En revisitant des souvenirs, tels qu'un voyage marquant au Costa Rica, je souligne que le véritable refuge se trouve en nous-mêmes, peu importe les circonstances externes. Ces expériences me rappellent qu'il est essentiel de faire les choses même si elles ne sont pas parfaites, et que la spontanéité peut être une alliée précieuse dans notre quotidien.
Rire aux éclats, s'adapter aux imprévus et savourer chaque instant de la vie composent les leçons que nous avons tirées de ce voyage. De l'anecdote cocasse d'un coq chantant pendant un message vocal à l'enchantement des femmes en sari travaillant dans les champs, chaque moment est une invitation à lâcher prise. En embrassant l'incertitude, nous redécouvrons la beauté d'être vivant et l'importance de ne pas se laisser dicter par les attentes des autres. Rejoignez-moi pour une exploration pleine de spontanéité et de joie, et découvrez comment le programme "Les Affranchis" peut transformer votre approche du développement personnel.
Si toi aussi, tu veux m'écrire une lettre manuscrite clique ici et envoie le mot "LETTRE""
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.
Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.
Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.
Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.
Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :
🌸 Élever ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition
🌸 T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs
🌸 Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.
Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.
Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.
Retrouve moi dans des espaces intimes et puissants d'accompagnement, c'est mon métier depuis 12 ans sur www.laetitiamartos.com
Bonjour, bonjour Facebook, j'espère que vous allez bien. Hop. Alors, aujourd'hui, j'avais envie de vous parler de cette semaine un peu folle que j'ai passée cette première semaine en Inde. Et ça va commencer, en fait, parce que vous savez combien pour moi c'est important d'avoir un joli fond. Et là, en fait, je suis ni plus ni moins que dans une ferme. Donc, en fait, vous voyez le plafond, vous voyez les toits, etc. Et ça a été hyper, hyper inconfortable pour moi d'être ici et de faire des jolies photos, des jolies images de pendant que je parle, je suis en train de me percevoir d'un truc. Il y a la gourde de ma fille qui est dans un espace qui est réservé, où il y a les singes qui viennent Ça fait une semaine que je lui dis de pas mettre ses doigts à la bouche et il y a sa gourde qui est là dans l'enclos où, en fait, il y a plein de singes qui viennent parce qu'il y a des nouvelles pousses. Bon, alors, du coup, ici je suis en Inde, je suis partie toute seule. Ma fille, donc, ne va pas à l'école, elle est déscolarisée, c'est notre cinquième année en instruction en famille pendant que moi, j'ai toujours mon business, qui tourne évidemment mon business. Si tu me rencontres aujourd'hui. Il était là bien avant que elle naisse et j'ai continué et il n'a jamais été aussi florissant que depuis qu'elle est là dans ma vie. Donc, ça, c'est rigolo. Et là on est en Inde, on a rejoint des familles qui viennent du monde entier et on s'est rejoint chez une famille qui est indienne et qui habite ici, là où on est, et on est dans une ferme, et, en fait, la semaine dernière, j'avais un programme de 7 jours sur la créativité que j'ai adoré, et donc, la semaine dernière, on est arrivés ici Après 5 ou 6 vols, je ne me souviens plus, il y en a qui ont été annulés, décalés. Ça a été compliqué Et en fait, on est arrivés ici, évidemment exténués. On a dû dormir 2 heures en 3 jours de voyage Et, en fait, je me suis dit trop bien, je vais me poser le matin, ma fille fait des activités et donc moi, j'ai, elle est toujours avec moi, donc elle ne fait jamais d'activité toute seule le matin. Donc, je me suis dit trop bien, je vais enfin pouvoir avoir des matinées. C'est la première fois depuis des années enfin au moins cinq ans du coup que je vais pouvoir avoir du temps toute seule, et puis du temps long d'affilée en matinée, trop bien, et en fait, ça a été un truc de ouf, parce qu'en fait, ici, là où on est vraiment, on ne peut pas dire que ce soit vraiment joli. Alors, je vais vous montrer, parce que moi, j'adore quand l'univers est joli, quand je fais des lives et que c'est beau, etc. Alors là, je vais vous montrer. Non, mais en fait, juste, je devrais faire des sketchs, parce qu'en fait c'est des sketchs. Et chaque fois que je me mettais quelque part pour essayer de faire un live, il y avait un truc qui se passait. Ce matin, j'avais une interview de podcast.
Speaker 1:En fait, je m' des gens qui sont arrivés pour travailler sur la ferme à cet endroit-là, et il y avait un putain de coq qui faisait qu'appeler ses poulettes, mais c'était hyper tard, c'était 9h pour lui, donc je ne sais pas ce qu'il foutait à appeler ses poulettes à cette heure-là. Ça faisait longtemps qu'ils étaient réveillés. Et du coup, je me à l'autre endroit Et là, il y avait les dames qui arrosaient les plantes. On a fait un putain de sketch Et là, j'étais là. Ah oui, non, je ne peux pas me mettre là. Donc, je n'ai pas arrêté de bouger Et moi, je suis hyper efficiente, ça veut dire que je suis la personne la plus efficiente du monde Et quand je perds 22 secondes, c'est juste horrible. Bon, là, il y avait la gouttière, qu'est-ce qu'il y avait, voilà, ça aurait été pas mal aussi, derrière, il y a les jeunes qui sont, qui travaillent là, oh putain, et du coup, je trouvais jamais rien. Encore, là, c'est pas mal, et donc c'est Ah, non, je peux pas faire un podcast, je peux pas faire un live. Je, en plus, on était fatigués Et on est ici, il y a 14 enfants qui sont là Et sinon, on est 6 familles, 5-6 familles sur le site.
Speaker 1:Donc, ça fait énormément de monde, plus les gens qui travaillent. Je dirais qu'il y a une quinzaine de personnes qui travaillent sur la ferme. Et moi, si vous me connaissez, vous savez que j'adore la solitude, vous savez que je vis au milieu de nulle part parce que, juste, il n'y a rien et que, pour moi, c'est hyper important qu'il n'y ait rien. Et du coup, j'étais là. Non, mais c'est juste un truc de fou. Et donc, ça me sort vachement de ma zone de confort parce que, un, il y a du bruit. Il y a du bruit tout le temps Les coques, les oiseaux. Alors les oiseaux, il y en a qui font des cris sympas, mais il y en a d'autres, c'est dégueulasse.
Speaker 1:Donc, du coup, dans un enregistrement, c'était pour moi, je ne le voyais pas possible. Plus il y a des, il y a de l'air, et il y a surtout des scooters, des motos, qui sont loin, mais qu'on entend et on est nous-mêmes, nous, nombreux, et là, j'étais comme comment je vais faire? Alors, je me suis dit c'est pas grave, je vais aller travailler sur la plage. Il y a plusieurs dans la vie Et en fait, sur la plage, il n'y a pas de réseau. Donc, ma vie, ma vie depuis 20 ans, est sur Internet, c'est-à-dire que dans la pyramide de Maslow, tout en bas, il y a le Wi-Fi, il y a Internet, il y a la 3G, 4g, 5g, ce que vous voulez, mais il n'y avait rien.
Speaker 1:Donc, je me suis dit je ne vais même pas pouvoir les faire râler, je ne vais même pas pouvoir leur montrer comme c'est beau ici, pendant qu'ils sont en train de se geler. Je ne peux même pas être insolente, je ne peux même pas être insolente. Et donc, ça a été difficile pour moi, parce que j'ai dû choisir dans un non-choix. Et alors, moi qui travaille uniquement sur la liberté et sur ce que la liberté nous permet de créer comme héritage. Il y a une dame qui travaille, mais bon, je ne sais pas comment il fait.
Speaker 1:Il fait tellement chaud l'héritage qu'on laisse à nos enfants grâce à notre liberté, que là, j'étais dans des non-choix, c'est-à-dire qu'en fait, je ne trouvais pas comment m'installer, parce que moi, j'ai tout un tas de critères. Quand on a un cerveau délicieux, on ne se dit pas je vais appuyer sur le bouton, ça va enregistrer. Non, c'est à dire qu'on a des critères. Il faut que ce soit beau, il faut que ce soit simple, il faut que ce soit agréable pour moi, pour les autres, il faut que je me sente bien. Non, mais là, c'est un sketch.
Speaker 1:Des fois, je me posais et c'est là que j'avais des gouttes qui dégoulinaient. C'est dégueulasse. Je ne vais pas faire un live avec des gouttes qui dégoulinent, ce n'est juste pas possible. Après, je faisais ça, je m'installais. Je vous jure, j'aurais dû vraiment l'enregistrer.
Speaker 1:Je m'installais et il y avait quelqu'un qui arrivait pour nettoyer. Il se parlait en fait de haut en bas, parce que là on est en hauteur. Il se parlait de haut en bas, en Indie, du coup, et moi, j'étais là. Donc, je ne comprenais rien, je ne savais même pas si je gênais et tout, et donc, je me suis dit ah bon, ben non, je ne vais pas appuyer, donc je vais me déplacer. Et donc, j'avais mon sac à dos, mon sac à dos pour cadrer. J'avais mon sac à dos, licorne, partout.
Speaker 1:Oh putain, c'était vraiment un sketch. Et en fait, au bout d'un moment, j'ai dit tu sais quoi, en fait, ça ne va jamais changer. Il y aura toujours du bordel, il y aura toujours du monde, il y aura toujours des gens qui hurlent en hondi, il y aura toujours des gens qui gueulent en anglais. Et à un moment donné, en fait, moi je n'ai pas changé, moi, je suis toujours moi Et, en fait, on va faire avec ce qu'on a. Et là où ça me sort de ma zone de confort, de ouf, c'est la beauté, c'est-à-dire que j'ai tellement besoin que ce soit beau. Et je me souviens, j'avais une personne qui c'est super important, vraiment pour moi. Et là, je le vois.
Speaker 1:Et ce matin, j'ai eu une discussion avec une personne que j'apprécie énormément et qui m'a dit tu sais, laetitia, la beauté, elle n'est pas à l'extérieur de toi, elle est à l'intérieur de toi. Et là, ça m'a fait comme euh, euh, ouais. Alors, en plus du coup, je rajoute par rapport à ça j'ai eu des boutons, vous les voyez. Et donc, du coup, j'ai, en fait, il n'y a rien qui va, j'ai des gouttes qui dégoulient. Je ne peux pas faire de live parce que c'est trop chaud.
Speaker 1:J'ai des boutons partout, c'est le bordel autour de moi. Et comme j'ai décidé de ne pas m'arracher le cerveau, maintenant, j'utilise des écouteurs filets Et donc il passait partout. Il s'en mêlait. Non, mais c'était un putain de sketch.
Speaker 1:Et donc je me disais mais je vais, en fait, je ne vais jamais réussir à trouver un endroit où moi, je me sens bien. Et hier, je me suis dit tu sais quoi, en fait, l'est à l'intérieur de moi? À l'intérieur de moi, je suis bien Et donc je ne vais pas pouvoir faire quelque chose de beau à l'extérieur. C'est-à-dire que là, il y aura un toit un peu dégueu, il y aura des gens qui passent, il y aura du bruit, et tu sais quoi. Ça ne va pas être parfait.
Speaker 1:Parce que, réellement, quand on est à la maison et que je dis je vais faire un live, ou je vais enregistrer un podcast, ou je vais, peu importe ce que je fais, je préviens et j'ai beaucoup de respect à la maison parce que ça a toujours été comme ça. Je travaille à la maison depuis 8 ans aujourd'hui, donc, ça a toujours été comme ça. Et là, je me suis dit et là, je me suis dit tu sais quoi, en fait, ça, ça va jamais changer que là, il y a 20 personnes sur le site, il y a 15 personnes qui travaillent ici. Je ne vais pas dire à chacun s'il vous plaît, est-ce que vous pourriez la fermer? Parce que Laetitia Martos aimerait qu'il y ait un joli fond, parce que dans son live, vous comprenez que sinon, ça l'embête.
Speaker 1:En fait, peu importe ce qu'il y a derrière, vous voyez l'image que je fais. En fait, peu importe ce qu'il y a derrière, ce que vous voyez derrière, peu importe ce qu'il y a comme fond, peu importe ce qu'il y a derrière moi, parce qu'en réalité, l'endroit où moi je me sens bien, c'est moi, et moi, je m'en porte partout. Et je me souviens quand je suis partie pour la première fois à l'autre bout du monde j'avais même pas 20 ans et c'était donc il y a 20 ans, et je suis partie vivre au Costa Rica, à l'époque où il n'y avait pas d'Américains, pas de Canadiens. Donc autant vous dire que c'était la jungle, il n'y avait pas de route. Moi, j'avais les singes qui s'accrochaient aux fenêtres, enfin, voilà, et les boas qui faisaient le pas de porte devant la maison. Et quand je suis partie là-bas, j'étais vraiment pas bien, j'étais vraiment pas bien-bas.
Speaker 1:J'ai vu qu'en fait, je n'allais pas mieux parce qu'en fait, quand on se déplace, le mal-être se déplace avec nous. Et ce que je découvre, 20 ans plus tard, c'est que moi, mon temple, il est à l'intérieur de moi et moi, je me sens bien et que j'aurais aimé, en fait, juste vous proposer une expérience qui soit plus liné, qui soit propre, qui soit jolie, qui soit jolie à regarder, qui soit plaisante, qui ait du fond, qui ait de la forme, qui ait tout un environnement qui vous embarque avec moi. Et donc, j'ai décidé de faire avec les moyens du bord, et les moyens du bord, ils sont ce qu'ils sont, voilà. Et aujourd'hui, je viens dans ce live parce que j'ai envie de vous partager ça. Et deuxièmement, j'ai envie de vous partager quelque chose sur la note de il vaut mieux que ce soit fait et que ce ne soit pas parfait plutôt que pas fait du tout, dans le sens où j'ai fait beaucoup de live, beaucoup, beaucoup de live Il y a trois ans. J'ai fait un live par jour pendant plusieurs mois.
Speaker 1:L'année dernière, j'ai fait 34 webinaires en 32 semaines. Cette année, j'ai fait 30 lives en 30 jours Et je sais combien on aime se retrouver avec ces connexions. Je suis désolée, je n'ai aucun commentaire. Donc je regarderai après si jamais vous en avez fait. En tout cas, n'hésitez pas. Et là, en fait, j'avais vraiment envie de reprendre mes lives Et cette année, j'ai pris des cours d'art oratoire.
Speaker 1:Ces cours d'art oratoire, ils ont été super Et je les ai pris au moment où j'avais vraiment envie de faire une pause dans mes lives, tout ça pour devenir plus performante et que, vraiment, mon message soit plus direct. Et donc, j'ai fait ces cours d'art oratoire. Ça a pris quatre mois, j'ai payé 4500 euros, donc c'était que du one-to-one, en individuel, avec des spécialistes sur chaque thématique, et tout C'était super. Et en fait, une fois que j'ai commencé, je me suis dit non, mais attends, j'ai commencé mes cours d'art oratoire. Donc je ne vais pas commencer mes lives, parce que maintenant, je vais attendre de gagner une expérience. Et puis, ensuite, j'ai dit ok, c'est pas grave, je vais attendre d'avoir un peu avancé. Puis, j'ai attendu un mois de plus. Puis, après, j'ai dit non, mais maintenant que j'ai attendu, autant attendindre la fin des cours d'art oratoire Et comme ça, j'aurai vraiment tout ce qu'il faut pour pouvoir me relancer dans mes lives, alors que j'avais certainement plus d'expérience que les personnes qui m'ont accompagnée sur ce sujet, vu que j'en avais fait des dizaines et des centaines avant.
Speaker 1:Ok, et puis ça, c'est fini. C'était en août Et du coup, j'embre, je n'ai pas commencé. Et en fait, ce processus-là, je le vois très bien chez mes clients. C'est toujours plus facile à voir chez quelqu'un d'autre. Je le vois très bien chez mes clients, c'est-à-dire se dire je ferai après avoir fait ça, je ferai après avoir fait ça, je ferai après avoir fait ça, et quand n'y aura pas de bruit, je pourrais le faire.
Speaker 1:Et en fait, on se met à choisir des critères qui nous permettent de ne pas nous y mettre. C'est très étonnant. Regarde les critères qui font que tu veux y aller. Alors, je ferai ça quand j'aurai A, b, c, d, Quand je saurai A, b, c, d, tu te listes et comme ça, c'est énorme. Moi, j'observe ça depuis 12 ans. Oh, ma Christe, t'es là. Je suis contente et en fait, ça me fait penser.
Speaker 1:Quand ma fille est née, elle n'a pas dormi pendant les 3 premières années de sa vie et en fait, nous, avec mon chéri, il ne nous tardait qu'une chose, c'était de passer des moments que tous les deux, et nous, on n'aime pas compter sur la famille, les amis, tout ça pour ça. Donc, du coup, on voulait s'en sortir dans notre cercle familial et on ne voyait pas comment, pourquoi il fallait compter sur de la famille pour que, nous, on soit tous les deux. On ne voyait pas le rapport, et donc, un jour, on s'est fait accompagner tous les deux et on était en rendez-vous et on dit, en fait, nous, il y a vachement de pression sur le sommeil de notre fille, parce qu'en fait, on attend qu'elle dorme pour passer du temps tous les deux. Et le gars, il nous regardait, c'est rigolo, parce qu'en fait, le seul truc dont vous êtes sûr, c'est qu'elle va pas dormir. Donc, dans votre vie, vous savez rien, mais ça, vous le savez, elle dort pas. Et du coup, il y a le savez, c'est qu'elle ne dort pas.
Speaker 1:Et du coup, il y a un truc important, c'est que vous voulez passer des moments en couple et vous faites tenir ça sur le seul truc que vous n'avez pas, c'est-à-dire le fait qu'elle s'endorme. Il était très bienveillant, donc, il ne nous a pas dit vous êtes con ou quoi, mais c'était quand même un peu l'idée, et donc, on s'est dit ah, ouais, c'est intelligent ce qu'on a fait. Donc, il y a quelque chose de très important pour nous et le critère de réalisation dépend de quelque chose qui n'est pas là. What the heck pourquoi on fait ça et là.
Speaker 1:En fait, pour les lives que moi j'aime faire, quand je suis dans un environnement différent, vous le savez, c'est toujours joli, il y a toujours un beau fond, il n'y a pas de bruit, il y a un super son. Et là, en fait, je me suis dit mais ici, je n'ai pas tout ça. Alors, peut-être que si vous vous gelez le derrière et que vous êtes en Europe et que vous voyez ça, que vous voyez ça, vous vous dites ah, purée, si vous me voyez peut-être en débardeur, hyper bronzé, avec du henné et des super boucles d'oreilles, vous allez vous dire ah, la chance. Mais en vrai, je ne me trouvais pas, la semaine dernière, super chanceuse Et, en fait, je me suis dit tu sais quoi, à un moment donné, on va choisir, parce que si ça n'y avait pas que ça, il y avait bien entendu le décalage horaire, le décalage de nourriture, enfin tout ce qui fait partie du voyage. Mais ça, c'est pour ça qu'on est là. J'avais mes règles.
Speaker 1:Ah oui, parce que sinon, voilà, j'avais 15 personnes dans un groupe, un programme de groupe et moi, je n'ai jamais beaucoup de monde dans mes groupes Et, avant de partir, j Et avant de partir, j'avais proposé dans ce groupe une place VIP, une place VIP pour quelqu'un. J'ai une personne qui s'est inscrite et j'ai oublié d'enlever le bouton d'inscription, c'est-à-dire qu'il y avait dans le mail que j'ai envoyé pour proposer cette offre-là, il y avait un bouton à cliquer pour s'offrir une place VIP. Il y a quelqu'un qui l'a pris tout de suite Et j'ai oublié d'aller sur Paypal et de supprimer le bouton. Du coup, je suis partie en Inde, je suis revenue et j'avais deux clientes supplémentaires qui m'avaient pris la place VIP unique. J'en avais offert une, en fait. Du coup, j'avais trois personnes en VIP. Donc, j'avais mes trois clients dans le boudoir en one-to-one, j'avais trois clients pour la semaine en one-to-one. Donc, j'avais six personnes en one-to-one et j'avais quinze personnes dans un groupe. Et c'est comme, et je fuyais le bruit parce que je voulais que mes clients, ils m'entendent de manière distincte.
Speaker 1:Ce matin, j'ai fait un vocal à Thibaut, mon client. Je vous promets, au milieu du vocal, il y a un coq qui se menait à hurler Et je me disais pourquoi, maintenant Et à un moment donné. Souvent, on me dit qu'il faut lâcher prise. Ce n'est pas lâcher prise, c'est qu'en fait, je suis rendue à un niveau de suivi avec mes clients de questionnement, etc. Pour moi, c'est important que ce soit excellent.
Speaker 1:Et là je suis dans un autre environnement où je me dis qu'il y a un putain de coq dans mon vocal pour mon client. Et en même temps, je suis dans une ferme. Je n'habite pas dans une ferme en général, et quand on voyage, on va dans des très beaux endroits, donc, en général, il n'y a pas de coq qui hurle, même si on va toujours dans des pays en développement. Donc, forcément, de toute façon, on s'attend à ça. Et donc, je voulais vraiment vous partager pour vous dire arrêtons de nous prendre au sérieux. En fait, mon message, c'est ça, juste ça Arrêtons de nous prendre au sérieux. Et ce que je découvre aussi, c'est qu'en fait, il y a un endroit où je suis vraiment vraiment bien ici, c'est avec moi. Quand je suis avec moi, je me sens très bien, je me sens très bien et je me sens joyeuse et je suis heureuse.
Speaker 1:Ce matin, je suis arrivée. Il y a toutes les femmes qui viennent travailler ici qui arrivent en sari. Les dames viennent travailler ici, qui arrivent en sari, donc on dirait un défilé de mode, les dames, elles viennent travailler dans les champs, du coup, ici, elles viennent planter, etc. Elles arrivent en sari, elles font un défilé. Moi, je suis comme dans les films, j'ai la bouche ouverte tellement elles sont belles.
Speaker 1:Et donc, ce matin, comme j'avais essayé leur sari, tout ça, elle m'a dit Oh, t'as acheté des boucles d'oreilles indiennes et tout, et en fait, je les ai achetées en France avant de partir. Et du coup, je n'osais pas leur dire Non, en fait, pas du tout. Voilà, et du coup, elle m'a dit qu'elle allait me faire découvrir des bijoux qu'on met là, vous voyez, trop beau, voilà. Et du coup, ça, je me dis Tu sais quoi? J'ai posé tout sur ma table. Elles sont arrivées, elles m'ont tout touché les boucles Et comment ça va, et les cheveux, que c'était joli, parce qu'en fait, il fait tellement chaud que j'ai les cheveux tout le temps accrochés Et que c'est beau, tes cheveux, ils ne sont pas noirs, tout ça.
Speaker 1:Donc, elles m'ont touché beaucoup les cheveux. Elle est tout le temps comme ça. C'est un peu toujours le bordel. Je ne prévois jamais rien.
Speaker 1:Il y a mes clients qui sont là, christine, qui me connaît, malheureusement la pauvre depuis trop longtemps. Et coucou, ma Virginie, et qui me dit toujours et du coup, la semaine prochaine, je ne sais pas ce que je vais faire la semaine prochaine, mais en réalité, je ne sais même pas ce que je vais faire cet après-midi, et du coup, c'est un peu dans les coulisses pour vous montrer qu'en fait, ça marche même quand c'est comme ça. Ça marche même quand c'est le bordel, et j'ai encore mes règles. Je ne sais pas, ils ont décidé de rester longtemps en plus, j'ai encore mes règles. Il fait 35 degrés. Salut, asriel, salut.
Speaker 1:Et j'ai envie de vous dire quand on a un cerveau délicieux et qu'on met tous ces critères en place, on les met en place souvent pour les autres, Parce qu'on s'est tellement adapté, on s'est tellement adapté et suradapté aux autres qu'on est habitué à répondre à des critères. Alors, maintenant, on est devenu grand, donc, on se met nous-mêmes des critères, et ces critères là, souvent, on les pose en opposition avec ce à quoi on peut accéder aujourd'hui. Voilà, alors, moi, je vais dire oui, je veux un fond joli, mais c'est pas joli. Là où je suis, là, là, actuellement, dans la ferme, c'est pas joli, c'est pas joli.
Speaker 1:Il y a du bordel partout. Tu as le linge là, tu as des gens qui passent. Tu as des gens qui travaillent, tu as l'arrosage qui se lance. Tu as les travailleurs qui passent avec 4 tonnes sur la tête. Je leur ai demandé de faire 10 mètres avec eux.
Speaker 1:Ça te casse le cou Et ils disaient You're so brave», tu es si forte, t'es si forte et tout, comment ça? Moi, j'ai porté ton truc pendant 10 mètres et toi, tu fais ça toute la journée. Et encore, je suis certaine qu'elles m'ont mis un truc où il n'y avait pas beaucoup de choses Et elles le portent comme ça sur la tête, avec des fleurs, avec tout ce qu'elles sont. En porter un truc, voilà. Ah, je réponds à un client parce qu'il y a ça qui m'inspire. Ah, ça, tiens, ça, je pense à un tel, il faudra que je le lui partage.
Speaker 1:Ah, un groupe où il y a 15 personnes dedans, parce que ma vie, elle est comme ça, elle est comme ça et parfois, dans mes lives, je veux vraiment faire un focus sur un sujet et vous avez le sentiment d'un truc un peu édulcoré, parce que c'est joli, parce que ça me représente aussi, parce que chez moi, ben, j'ai assez joli et quand je rentre en live, je suis chez moi. Donc, c'est comme chez moi, je ne fais pas un set up pour le live, c'est comme ça. Mais parce que chez moi, c'est joli, parce que j'ai besoin de ça et là, aujourd'hui, je suis pas chez moi, je suis pas chez moi, et à la fois, je suis à l'intérieur de moi et à l'intérieur de moi, et à l'intérieur de moi, je suis toujours chez moi. C'est juste que ça va donner une expérience visuelle différente aux autres. Et vous savez quoi? C'est OK, C'est toujours OK. Voilà, mes clients, ils vont rire de ce live parce qu'ils m'ont toujours dit Oh, putain, laetitia, de te savoir avec 20 personnes au quotidien.
Speaker 1:Non, mais comment tu vas faire? Parce que alors, moi, j'adore être seule, j'adore quand il n'y a pas de bruit, j'adore le silence des êtres humains, j'adore être. Oui, la solitude, le silence, c'est vraiment des espaces où je me réalise énormément. J'en ai besoin chaque jour. Et là, mes clients m'avaient dit mais comment tu vas faire? Quelle idée tu as eu de partir dans un endroit où il y a du monde partout, tout le temps? Et donc, le feedback que mes clients attendaient, c'était comment je m'en sors dans un espace où il y a autant de monde?
Speaker 1:Et en fait, ce n'est pas ça le problème. En fait, ce n'est pas ça le problème, parce que je peux très bien aller me mettre ailleurs Sur les plages, il n'y a strictement personne. Finalement, ce n'est pas du tout ça le problème, ce n'est le beau, C'est le beau. Et pour ceux qui sont formés ou qui travaillent avec le human design, les géniques, le beau je m'en suis aperçue il n'y a pas longtemps c'est partout, partout, Partout.
Speaker 1:Et, en fait, ce n'est pas parce que c'est important pour moi que je ne peux pas faire ça. Et comme je ne suis pas mannequin ni top modèle, je ne suis pas là pour qu'on me trouve belle de dehors. Et même si j'ai des boutons, même si je suis… Et je vous ai mis du rouge à lèvres quand même, j'espère que vous appréciez la petite touche Je peux venir là parce que, de toute façon, mes clients ne m'embauchent pas parce que j'ai la peau parfaite, ils ne m'embauchent pas parce que je suis belle, ils m'embauchent pour ce qu'il y a dedans. Et ce qu'il y a dedans, moi, ce qu'il y a dedans, moi, c'est toujours là, où que je sois, où que je sois, et, et c'est ça qui me permet en fait de me dire j'ai pu, dans ce bordel organisé, avoir six personnes en one-to-one la semaine dernière, alors que moi, j'ai des espaces très exclusifs où il y a très peu de gens, où j'aime quand il y a peu de gens, j'adore l'exclusivité. je sais qu'on parle beaucoup d'inclusion, etc. Mais alors, moi, j'aime, j'adore travailler avec très peu de gens, j'adore quand c'est intime, j'adore aller au fond des choses, j'aime pleurer avec mes clients. Je suis à fond, moi, je me donne à fond Et, en fait, j'ai pu le faire.
Speaker 1:J'ai pu le faire même si l'extérieur n'était pas idéal. Et hier, c'était trop drôle, parce que je parlais avec Virginie. On travaillait toutes les deux cette semaine. En fait, j'ai dit quelque chose. Ma fille était là, de toute façon, il y a toujours quelqu'un. Ma fille était là et elle a entendu ce que je disais, elle a ri, elle a éclaté de rire. Donc, virginie me dira Mais je pense qu'on doit l'entendre du coup, et je me C'est la vie.
Speaker 1:Ça fait un an que je travaille à ce que rien dans ma vie ne soit divisé. Voilà, rien, c'est-à-dire que le perso, le pro, le machin, tout ça, c'est mélangé. Et là, j'arrive là, et c'est un peu l'apothéose de cette année, où tout est mélangé. Voilà, et là, je suis là, il y a du bruit. C'est pas joli, ilen vrai? chez toi, tu fais sécher ton linge, alors en décembre, en Europe, je ne pense pas que tu puisses le faire sécher tous les jours dehors.
Speaker 1:Mais en vrai, c'est la vie. C'est en vrai, c'est la vie. C'est la vie que je vois ma gourde, qui est dans l'enclos où il y a les putains de singes qui viennent nous bouffer tout ce qu'on soit là, mais il s'en est appris tout à l'après-midi. Et là, je vois sa gourde, alors que je lui dis ne mets pas tes mains à la bouche. Et en fait, sa gourde est là, au loin, là devant moi, dans l'enclos où ils vont manger parce qu'il y a les jeunes pousses, et elle est ouverte.
Speaker 1:Et je me dis ben, je me dis mais moi, je lui dis de ne où? il y a les singes, on n'est pas bien là, est-ce qu'on n'est pas bien? Et voilà, et c'est la vie, c'est la vie. Donc, il vaut mieux que ce soit fait que pas parfait, il vaut mieux que ce soit fait que pas fait, et même si ce n'est pas parfait, c'est OK. Voilà, et de toute façon, en vrai, je, je veux surtout que vous ayez cette connexion avec vous.
Speaker 1:Moi, mon don, c'est de réaliser vos rêves entrepreneuriaux, vos rêves professionnels, vos harmonies de vie. Que vous entendiez du bruit derrière moi ou pas, qu'il y ait un palmier ou qu'il y ait du linge asséché, en vrai, qu'est-ce que ça change? parce qu'on n'est pas là pour mon linge, on n'est pas là pour mon palmier, on n'est pas là pour ma peau parfaite, on n'est pas là pour ma chevelure de lion. On est là pour vous Parce que moi, en vrai, je suis là pour vous. Qu'est-ce qu'on s'en fout du reste? Qu'est-ce qu'on s'en fout? Ah, tu l'as entendu.
Speaker 1:J'ai vu ma fille qui riait Et Désolée, maman, d'avoir rigolé. Mais tu sais quoi? C'était vraiment trop drôle ce que tu as dit. Et voilà, donc un. on peut travailler sérieusement, sans se prendre au sérieux.
Speaker 1:Vraiment, vraiment, le message que j'ai à cœur de vous donner, c'est celui-là Prenez soin de vous, riez aux éclats. Demain, on ne sera peut-être plus là. Donc, un, même même s'il y a du linge à sécher et que ma fille va boire dans une gourde, peut-être après un singe qui va lécher, vous savez quoi? Tout va bien, on est en vie. Et s'il y a bien quelque chose que j'ai appris cette année, c'est ça Le plus important, c'est d'être en vie, d'être vivant.
Speaker 1:Je vous embrasse de tout mon cœur. Et puis, bien sûr, si vous voulez travailler avec moi quand vous êtes prêts, prêtes. Il y a deux offres en cours. Ça s'appelle Les Affranchis. C'est un format one-to-one uniquement. Je ne vais prendre que quatre personnes pour cette année maximum. Je veux me focaliser sur ça. On ne va pas faire du plus et du plus et du plus, mais je veux être à fond avec des gens qui veulent être à fond avec moi. Et donc, il y a deux formats au mois et format quatre mois. Ah, ça change la vie. Voilà, ça s'appelle Les offres en chi. Tout est dans le titre. Je vous vois.